Jean-François Desclaux, 55 ans a rejoint Multiassistance S.A. comme Directeur Général France.
Diplômé d’HEC, Jean-François Desclaux a d’abord développé ses compétences dans les domaines de l’Audit, des Finances et de la Gestion. Il a mis son expertise au service de sociétés telles que le Groupe Cartier, le groupe G7 et le Virgin Megastore. En 1993, il crée le cabinet de Management de Transition, Executive Transition Management, spécialisé dans la direction d’entreprises en forte mutation. Dans ce cadre il dirigera, entre autres, la Mutuelle Complémentaire de la Ville de Paris et de l’Assistance Publique.
(suite…)
Multiassistance France : Nomination de Jean-François Desclaux au poste de Directeur Général
SPHERIA VIE se dote d’un nouveau Directoire
Le conseil de surveillance de SPHERIA VIE a procédé le 2 juillet dernier à la nomination d’un nouveau Directoire qui dirigera la société orléanaise pour un mandat de quatre ans.
Bruno DUVAL, 48 ans, succède à Patrick HOURY, démissionnaire, aux fonctions de Président du Directoire.
La démission de Patrick HOURY, qui exerçait ses fonctions depuis 2001, est consécutive des restructurations liées à la fusion de Mutuelle Atlantique, actionnaire de SPHERIA VIE, au sein d’Harmonie Mutualité, groupe mutualiste où il est appelé à exercer d’autres fonctions.
Bruno DUVAL est Directeur Général depuis 3 ans de la Mutuelle SPHERIA VAL DE FRANCE, autre actionnaire de SPHERIA VIE.
(suite…)
Les Suisses affichent une confiance grandissante dans les conseils des assureurs-maladie
Chantier santé publique: le peuple suisse affiche une envie grandissante de réformes dans les secteurs où les politiques sont à la recherche de solutions depuis des années. Selon la cinquième édition du sondage santé, une enquête représentative menée auprès de la population, les propositions telles que la refonte du financement des hôpitaux et des soins, la baisse du prix des médicaments, le libre choix de l’hôpital dans toute la Suisse ou l’assouplissement de l’obligation de contracter rencontrent toutes un accueil favorable.
Bien que les résultats du sondage santé, basé sur 1203 interviews, attestent d’une ferme volonté de réforme des citoyennes et citoyens, le système de santé actuel n’est toutefois pas intégralement remis en question.
82 % de la population n’entendent pas renoncer, par exemple, au système actuel de primes par tête et de réduction individuelle des primes. Ils tablent davantage sur une optimisation du système. Dans ce contexte, le projet d’adapter les prix des médicaments pratiqués en Suisse à la moyenne des prix pratiqués en Europe arrive en tête de liste, avec 91 % de personnes en sa faveur.
Les assurés ne sont plus enclins à payer un prix parfois beaucoup plus élevé en Suisse pour des médicaments identiques qu’ils pourraient acheter moins cher dans les pays étrangers voisins. L’assouplissement du principe de territorialité cesse aussi d’être un tabou pour une grande partie de la population: 75 % souhaitent en effet que l’assurance-maladie finance des traitements effectués à l’étranger. 77 % se déclarent favorables, en outre, au projet de financement uniforme des hôpitaux, et 69 % en faveur de la nouvelle répartition des coûts pour les soins des personnes âgées. santésuisse s’engage pour une base de financement à long terme des prestations de soins et préconise le projet approuvé par la CSSS du Conseil des Etats dans le cadre de l’élimination des divergences. Un projet qui va, selon elle, dans la bonne direction.
AG2R, Prémalliance et EUROMED Marseille : création de la Chaire “Finance Autrement”
Les groupes AG2R, PREMALLIANCE ET EUROMED MARSEILLE ECOLE DE MANAGEMENT s’associent pour créer la Chaire AG2R-PREMALLIANCE « FINANCE AUTREMENT Investissement, Solidarités, Responsabilité »
Les groupes AG2R, PREMALLIANCE et EUROMED MARSEILLE ECOLE DE MANAGEMENT, acteurs impliqués dans le Développement Durable et l’Investissement Responsable, nouent un partenariat pour la création de la Chaire « FINANCE AUTREMENT Investissement, Solidarités, Responsabilité ». Cette alliance, articulée autour de programmes de recherche, de pédagogie et de cours sur l’Investissement Responsable et Solidaire, se traduit entre autres par le lancement, en septembre prochain, d’un nouveau Fonds de Financement Citoyennement Responsable : ETHOMED.
« Pour AG2R et PREMALLIANCE, il s’agit de décliner une stratégie de développement durable fondée sur l’identification des enjeux majeurs de la Protection Sociale par la mise en œuvre d’actions comme la mise en place d’un carbon Disclosure Project, l’adhésion au pacte mondial des Nations Unies, la rédaction d’une charte de la diversité ou la priorisation des investissements responsables et solidaires » souligne Claude Vincent, Directeur Général de PREMALLIANCE.
« Pour EUROMED MARSEILLE, il s’agit de mieux répondre aux enjeux de la Responsabilité Citoyenne dans les pratiques des futurs managers que l’Ecole forme en mettant l’accent sur leur développement personnel et sur leur capacité à être des acteurs responsables. Cette démarche repose sur un programme de recherche « Entrepreneuriat et Responsabilité », sur la formation que ce soit le programme Grande Ecole – ESC ou le MSc Finance, et sur les coopérations engagées avec les entreprises et autres parties prenantes partenaires de l’Ecole» précise le Pr Bernard Paranque, Titulaire de la Chaire.
Leader de la notation non sollicitée avec ses scores @rating, Coface lance une notation sollicitée, équivalente à celle des agences de notation traditionnelles, avec 3 points forts exclusifs : un coût nettement plus faible, une base statistique beaucoup plus large, et l’expertise de prise de risque de Coface.
Déjà un leader mondial de la notation non sollicitée, avec un score et un avis de crédit sur 50 millions d’entreprises dans 150 pays, déjà également notateur agréé « Bâle 2 » pour le compte des banques, Coface confirme son ambition de devenir un acteur global de ce métier en lançant une notation d’entreprise sollicitée. Coface ne limitera pas sa notation aux grandes entreprises ayant des titres de dette cotés sur les marchés, mais s’intéresse à toutes les entreprises, y compris entreprises moyennes ou de pays émergents, qui ont tout autant besoin que les grandes entreprises d’afficher leur solvabilité. Par contre, Coface continuera de ne s’intéresser qu’aux notations d’entreprises (« corporates »). Cette spécialisation est un gage de sécurité, à l’heure où certaines diversifications mal maîtrisées de la notation en direction d’instruments financiers complexes font l’objet de critiques.
Une notation en trois étapes
La nouvelle notation sollicitée Coface se présente sous forme de lettres (A, BBB,…), comme celle des agences traditionnelles, et elle associe à ces lettres les mêmes probabilités de risque de défaut. Sa fabrication comprend, comme pour les autres notations sollicitées, une étape de dialogue sur site entre le management de l’entreprise notée et les experts Coface.
(suite…)
Philippe Achalme : portraits des dirigeants de l’assurance
Philippe Achalme est directeur des ressources humaines d’Aviva France depuis janvier 2008 .
Agé de 50 ans, diplômé de l’Essec, le parcours professionnel de Philippe Achalme se caractérise par l’exercice de diverses fonctions au sein de différents secteurs d’activités.
Après avoir débuté sa carrière chez BASF France, dans la formation et le recrutement, il a été, successivement, Ingénieur des ventes semi-conducteurs pour TEXAS INSTRUMENTS France, puis, responsable du développement du cabinet France Formation.
Par la suite, il a rejoint SPIE BATIGNOLLES où il a pris la responsabilité des ressources humaines du siège de la Division Electricité et Nucléaire, avant de créer la fonction de directeur des RH et de la communication pour le Groupe Chantiers Modernes Routes.
(suite…)
Philippe Sorret : portraits des dirigeants de l’assurance
Philippe Sorret est directeur général depuis le 30 avril 2003 et membre du directoire d’Aviva France.
Philippe Sorret, 45 ans, est diplômé de l’école Polytechnique. Il est également ingénieur ENSTA et actuaire. Philippe Sorret a rejoint Abeille assurances dès 1985, puis a occupé successivement les fonctions de chef de projet informatique, responsable du plan et du courtage grands comptes, jusqu’en 1991. Il est ensuite été nommé adjoint au directeur du département santé de 1991 à 1993 puis, les deux années suivantes, est en charge de l’animation commerciale du réseau des agents généraux d’Abeille. Poursuivant sa carrière professionnelle au sein de CGU France, il prend la direction des opérations d’assurance d’Eurofil de 1995 à 1999, avant de devenir, en 1999, directeur général du co-leader de l’assurance directe en France, fonction qu’il occupe jusqu’en 2002.
Il rejoint, en juillet de cette même année, le pôle vie du groupe, en tant que directeur commercial Marketing, organisation et moyens de gestion. Philippe Sorret est directeur général d’Aviva France depuis 2003.
Pacifica renforce la gestion des sinistres en région
Pacifica, filiale d’assurance dommages de Crédit Agricole S.A. inaugure aujourd’hui un nouveau site dédié à la gestion des sinistres Incendie Accidents Risques Divers (IARD) à Schiltigheim près de Strasbourg. Il s’agit du quinzième site crée par Pacifica qui s’organise désormais autour de onze implantations IARD et quatre dédiées à la protection juridique.
Avec cette ouverture, Pacifica, premier bancassureur IARD en France, poursuit son développement en région, confirmant ainsi son choix d’être au plus près de ses assurés et des banques partenaires commercialisant ses contrats, les Caisses régionales de Crédit Agricole et les agences LCL.
Depuis janvier 2008, LCL distribue en effet les produits d’assurances de Pacifica, suite à la reprise en 2007 de l’activité initialement exercée par les Assurances Fédérales IARD. L’originalité du site de Strasbourg réside dans la complémentarité de deux équipes : l’une dédiée à l’accompagnement du client sinistré, la seconde intervenant en support des conseillers bancaires. Cette organisation a permis de maintenir l’emploi et de valoriser les compétences des équipes en place à Strasbourg lors de la reprise de l’activité.
Le capital investissement a continué de créer de la valeur malgré la crise du crédit selon l’édition 2007 d’Ernst & Young
Au moment où le nombre de fusions/acquisitions ralentit au niveau mondial et que le financement des opérations devient plus difficile, le business model introduit par le capital investissement se montrera-t-il toujours aussi efficace ? Son succès est-il dû aux seules conditions favorables du marché, à la dette moins chère et aux réductions de coûts ou bien, peut-on parler d’un business model durable, capable de se maintenir au-delà de la crise ? Dans des conditions de marché plus difficiles, le capital investissement continuera-t-il de créer de la valeur dans les entreprises dont il est partie prenante ? D’autres régions du monde vont-elles lui offrir de nouvelles terres de croissance ?
Pour répondre à ces questions, Ernst & Young rend publique la troisième édition de son étude sur les 100 plus importantes cessions réalisées par le capital investissement en 2007 en Europe, en Amérique du Nord et en Asie : Private Equity Exits « Beyond the credit crunch ». En voici les principaux résultats:
En 2007, les entreprises détenues par des fonds ont été plus rentables et plus performantes que les sociétés cotées
L’étude montre que la valeur des entreprises cédées en 2007 par des fonds d’investissement a augmenté de 24% par an au niveau mondial, soit deux fois plus que la valeur des entreprises cotées équivalentes.
(suite…)
comparis.ch : le Baromètre Suisse des Hypothèques pour le deuxième trimestre 2008
Renchérissement en douceur du coût d’acquisition des logements
En ce moment, maîtres d’ouvrage, acquéreurs de logement et propriétaires immobiliers sont attentifs à l’évolution des taux hypothécaires. En effet, les crédits immobiliers se sont renchéris au cours du deuxième trimestre. Après avoir baissé au trimestre précédent, la demande en hypothèques à taux variable est fortement repartie au 2ème trimestre 2008, comme le montre le Baromètre des Hypothèques de comparis.ch, le comparateur sur internet.
Taux d’intérêt en hausse, scepticisme des emprunteurs quant aux crédits à long terme, demande renforcée pour les hypothèques à taux variable – voici les signes marquants du marché hypothécaire pour le deuxième trimestre 2008. Comme le montre le Baromètre des Hypothèques de comparis.ch, le comparateur sur internet, publié quatre fois par an, les taux sont en hausse quel que soit le type d’hypothèque considéré. Pour les crédits à durée déterminée, occupant traditionnellement une place prédominante sur le marché (73% de la demande globale au 2ème trimestre 2008), la hausse des taux oscille entre 0,3 et 0,5 point par rapport au trimestre passé, en fonction de la durée du crédit [graphique 1]. En fait, ce sont surtout les hypothèques fixes à court terme qui sont devenues relativement coûteuses. Il en résulte un aplatissement de la courbe des taux des hypothèques à taux fixe pour le 2ème trimestre, illustrant la réduction du différentiel de coût entre les hypothèques à long terme et celles à court terme [graphique 2].
Au niveau des hypothèques à taux variable, la hausse des taux a été relativement modérée sur la période examinée, avec en moyenne moins de 0,1 %. Le taux indicatif moyen des hypothèques à taux variable se situe toujours nettement au-dessous de 4 %. Les hypothèques à taux fixe à court et moyen terme ont en revanche passé la barre des 4 % au cours du deuxième trimestre 2008 et les hypothèques sur 10 ans ont à nouveau franchi le seuil des 4,5 %. Conclusion : devenir propriétaire de son logement revient plus cher. Selon Martin Scherrer, expert ès Banques et Assurances auprès de comparis.ch, «les propriétaires immobiliers qui renouvellent leur hypothèque à taux fixe (5 ans) en juin 2008, sans changer de type d’hypothèque, devront payer presque 50 % d’intérêts en plus sur les cinq ans à venir que s’ils l’avaient renouvelée entre juin 2003 et juin 2008».
AXA Winterthur : Assistance professionnelle pour les entreprises en cas de crise
Qu’il s’agisse d’un gros incendie dans la menuiserie d’un village, d’un grave accident d’autocar d’un voyagiste ou d’une fuite de produits chimiques dans une usine, les sinistres peuvent rapidement se transformer en crises, entraînant souvent de lourdes conséquences pour la société concernée. Il est essentiel dans une telle situation de réagir correctement et plus encore de communiquer correctement avec les collaborateurs, les clients et le public.
C’est la raison pour laquelle AXA Winterthur propose dès à présent une assistance professionnelle à ses clients Entreprises en cas de crise. Les clients dont AXA Winterthur est l’assureur principal profitent de prestations gratuites sous forme de services juridiques, de communication et d’un centre d’appel.
Aucune entreprise n’est à l’abri de sinistres susceptibles de se transformer en crises. Les petites et moyennes entreprises sont a fortiori souvent mal préparées à de telles situations. L’expérience montre en outre que la plupart des entreprises ne survivent pas à un sinistre majeur ayant les caractéristiques d’une crise. «Une action correcte et rapide est indispensable dans de tels cas, bien qu’elle soit souvent impossible pour les PME, compte tenu de leurs ressources limitées», explique Philippe Derieux, responsable Property & Casualty chez AXA Winterthur. C’est la raison pour laquelle AXA Winterthur soutient dès à présent ses clients Entreprises avec un Programme d’accompagnement en cas de crise majeure professionnel, les déchargeant ainsi des éléments essentiels de la gestion de crise.
(suite…)
Solvabilité II : Une forte participation à la 4ème étude quantitative d’impact
Le processus d’élaboration des futures normes européennes de solvabilité des entreprises d’assurance devrait se concrétiser par l’adoption, prévue fin 2008 par les autorités politiques, de la proposition de directive Solvabilité II de la Commission européenne.
En vue d’évaluer l’impact potentiel de ces futures normes, les entreprises d’assurance et de réassurance étaient invitées à participer à une quatrième étude d’impact (QIS4), avec comme échéance le 7 juillet pour les contributions sur la base des comptes individuels et le 31 juillet pour la dimension « groupe ».
L’Autorité de contrôle des assurances et des mutuelles (ACAM), membre du CEIOPS, comité regroupant les autorités de contrôle européennes à qui la Commission européenne avait demandé de réaliser cet exercice, a apporté sa contribution technique au bon déroulement de celui-ci. Dans ce cadre, elle a publié des Orientations nationales complémentaires établies après une consultation publique de l’industrie.
(suite…)
Mutuelle étudiante SMENO : résultats de l’enquête « Le tabac et les lycéens en 2008 »
Mauvaise nouvelle : le regain de consommation de tabac constaté début 2007 se confirme dans l’enquête 2008 de la mutuelle étudiante SMENO ; après 3 enquêtes successives constatant une baisse en 2004, 2005 & 2006, les lycéens recommencent à fumer à plus de 40% (surtout les garçons à presque 43% alors que les filles descendent à 37%). Le thème de la Journée Mondiale sans tabac 2008 : «Jeunesse sans tabac » est plus que jamais d’actualité.
L’enquête « Le tabac et les lycéens en 2008 » a permis de rassembler 5600 questionnaires remplis dans des classes de lycées et dans des salons de l’étudiant et du lycéen à l’initiative de la SMENO ; le premier résultat en est que les lycéens déclarent fumer : « un peu » à 19,8%, « beaucoup » à 14,8% et « passionnément » à 5,06% pour un total de 39,65% à comparer au 39,58% de 2007. Si cette différence est faible, les évolutions des garçons et des filles montrent des évolutions inversées : les filles descendent de presque 40% à moins de 37% de fumeuses alors que les garçons montent de 39 à presque 43% de fumeurs, chiffre que l’on ne voyait plus depuis 2005. Principal élément favorable, l’age de la première cigarette remonte un peu puisqu’ils ne sont plus que 45% à déclarer avoir commencé à fumer entre 8 et 13 ans (contre 55% en 2007). Egalement favorable est l’étude du test de Fagerström qui mesure le dépendance nicotinique : les dépendances fortes descendent de 12,9% à 10,22% et les dépendances moyennes de 20,74% à 17,30% ; ce qui fait que les dépendances faibles et très faibles montent de 66% à 72%.
(suite…)
FIDELITY INTERNATIONAL PREND PIED SUR LE MARCHE DE L’IMMOBILIER EN FRANCE
L’entrée de Fidelity International sur le marché de l’immobilier commercial s’accélère avec l’annonce aujourd’hui du premier achat en France réalisé par son fonds immobilier paneuropéen créé récemment pour des investisseurs institutionnels anglais et allemands.
Celui-ci a acquis un centre logistique de 22 000 m² à Saint-Rambert, au sud de Lyon, pour la somme de 12,4 millions d’euros. Cet achat fait ressortir un rendement de 7,6% et le bâtiment sera terminé en décembre de cette année. Le promoteur et vendeur est la société lyonnaise Cardinal Investissement. Une seconde acquisition de centre logistique sera annoncée prochainement.
Commentant ce premier investissement en France, Keith Sutton, administrateur de l’immobilier européen chez Fidelity International déclare : « Nous avons choisi cet investissement à Saint-Rambert, parce que nous pensons que la zone autour de Chanas et Saint-Rambert deviendra une zone recherchée après l’extension du marché logistique lyonnais. Par ailleurs, les permis de construire à l’Isle d’Abeau et à proximité de l’aéroport de Lyon deviennent très difficiles à obtenir.
Cardinal Investissement est un partenaire local bien implanté dans la promotion immobilière, qui a la réputation de réaliser des produits de haute qualité et sera activement impliqué dans la location du bâtiment. »
(suite…)
Fidelity : 10 propositions pour améliorer la préparation financière des Français à la retraite
Fidelity, gestionnaire d’actifs et leader mondial de l’épargne retraite, formule dans un livre blanc 10 propositions afin d’améliorer la préparation financière des Français à la retraite.
Ce livre blanc 2008 fait suite à une précédente publication de Fidelity en 2007 qui rappelait les étapes-clés pour commencer à bien épargner pour sa retraite.
Retraite par répartition : les réformes paramétriques sont nécessaires mais insuffisantes
La retraite est l’un des principaux enjeux sociétaux en Europe. En France, l’allongement de la durée de vie provoque une pression croissante, d’une part, sur le système de financement des retraites par répartition et, d’autre part, sur les Français qui vont connaître une baisse de 15% à 20% de leurs revenus à la retraite.
La réforme des systèmes de retraite figure parmi les priorités des gouvernements européens. Il s’agit en général de réformes dites paramétriques qui sont de trois ordres : augmenter la durée de cotisation, par exemple en reculant l’âge officiel de départ à la retraite ; diminuer le niveau de couverture de la retraite par répartition ; augmenter les charges sociales pesant sur les actifs et visant à financer les retraites.
En France, le débat sur la retraite par répartition est en cours et les experts publics s’accordent pour dire que le poids de la retraite par répartition dans le revenu global une fois à la retraite est appelé à diminuer. Le COR estime que le taux de remplacement des cadres va baisser de 64% à 53%, soit 17% de baisse de revenus. « Si la retraite par répartition est et restera le pilier central de la retraite des Français, en particulier pour les populations fragiles pour lesquelles elle jouera probablement le rôle de bouclier social, il paraît nécessaire d’ouvrir le débat de la retraite supplémentaire. Il ne s’agit pas d’épargner plus mais d’épargner mieux.
C’est ce qui a guidé nos réflexions et les propositions rassemblées dans ce livre blanc » explique Jean-Eric Mercier, Président de Fidelity en France.
Les comportements et attentes des Français face à la retraite et à l’épargne
1. Les Français se sentent de plus en plus concernés par la préparation financière de leur retraite. Interrogés par TNS Sofres au travers d’un eurobaromètre réalisé pour Fidelity dans 8 pays européens en 2007, les Français sont 67% à déclarer s’en préoccuper, contre 58% en 2006. Cependant, seuls 36% déclarent avoir commencé à préparer leur retraite sur le plan financier. La France se place ainsi parmi les pays les moins préparés en Europe.
Coface s’associe aux banques pour soutenir les efforts de prospection des entreprises françaises à l’étranger
Coface et neuf banques françaises signent aujourd’hui à Lyon, en présence d’Anne-Marie Idrac, Secrétaire d’Etat chargée du Commerce Extérieur, des conventions pour que les entreprises françaises puissent obtenir une assurance prospection associée à un financement, adaptés à leurs besoins.
Une commercialisation de l’assurance prospection élargie
Pour que les entreprises, dont le chiffre d’affaires annuel n’excède pas 150 millions d’euros, puissent prospecter des marchés à l’étranger en toute sécurité, Coface propose de garantir le risque d’échec commercial de leur prospection (l’« assurance prospection » que Coface gère pour le compte de l’Etat). Pour faciliter encore plus l’accès à cette assurance, sa commercialisation, jusqu’alors exclusivement réalisée par Coface, est confiée aujourd’hui à neuf banques appartenant à des grands réseaux bancaires particulièrement bien implantés dans toutes les régions françaises : la Caisse d’Epargne Rhône Alpes, la Banque Populaire Loire et Lyonnais, la Banque Populaire des Alpes, la LCL, la Société Générale, HSBC France, la Lyonnaise de Banque, la Banque Laydernier et la Banque Rhône-Alpes.
(suite…)
La crise financière subprime se confirme en Europe et se propage aux pays émergents les plus fragiles
En Europe, l’Espagne s’enlise dans la crise, entrainant dans son sillage le Portugal. Au Danemark, plus vulnérable que les autres pays scandinaves, les entreprises souffrent du retournement conjoncturel et d’une compression de leurs marges.
Alors que les BRICs (Brésil, Russie, Inde, Chine) résistent toujours bien à la crise, on observe une montée des risques de crédit dans les pays baltes, l’Afrique du Sud et le Vietnam, handicapés par des déséquilibres extérieurs insoutenables et un ralentissement de l’activité.
La crise de crédit s’approfondit en Europe…
En Espagne, la chute du secteur de la construction, jusque-là principal moteur de la croissance, pèse sur la consommation et l’investissement. Le comportement de paiement des entreprises s’est nettement dégradé. Coface constate une hausse de 66% des incidents de paiement depuis janvier 2008 dans ce pays, dont la moitié provient de ce secteur. Après avoir placé sa note sous surveillance négative en septembre 2007, Coface abaisse la note de l’Espagne en A2.
Le Portugal, par effet de domino (30% de ses exportations sont destinées à son voisin), est atteint à son tour. Les impayés y ont été multipliés par deux depuis le début de l’année. Coface place donc sa note A2 sous surveillance négative.
Christian Couchoud : portraits des dirigeants de l’assurance
Christian Couchoud, 39 ans, a intégré Pacifica en février 2008 en qualité de directeur financier.
Ingénieur Agro Paris Tech et titulaire d’un DEA Finance de Paris-Dauphine, il débute sa carrière en 1992 chez Arthur Andersen comme auditeur.
En 1996, il rejoint le groupe BNP comme responsable des finances et du contrôle interne de la filiale obligataire BNP Finance.
En 1998, il intègre Crédit Agricole Indosuez comme chargé de mission au sein des back-offices des activités de marché avant de rejoindre en 2000 la direction des risques de la Caisse Nationale de Crédit Agricole en tant que responsable du projet Bâle II pour les Caisse régionales.
(suite…)
Monique Eid : portraits des dirigeants de l’assurance
Monique Eid a rejoint le comité de direction de Pacifica le 2 mai 2008 en tant que directeur des systèmes d’information. Elle succède à Renaud Hilleret.
A l’issue de ses études à l’Ecole Supérieure d’Electronique de l’Ouest, Monique Eid débute sa carrière dans le groupe Drouot dans les années 1980 avant de rejoindre Abeille-Assurance, devenu Aviva, en 1989 en tant que directeur de projets puis directeur des études informatiques.
En 1998, elle intègre l’Union des Assurances Fédérales (UAF) comme directeur informatique et membre du comité de direction.
(suite…)
Renaud Hilleret : portraits des dirigeants de l’assurance
Renaud Hilleret, 45 ans, a rejoint le comité exécutif de Predica le 2 mai 2008 en qualité de directeur du pôle industriel. Il succède à Jacques Arrondeau qui devient chargé de mission organisation au sein de Crédit Agricole Assurances.
Diplômé d’un DEST Informatique fondamentale et d’un Executive MBA Paris-Dauphine / UQUAM, Renaud Hilleret débute sa carrière en 1987 dans la société de bourse Tuffier Ravier Py puis chez Sicor en tant que responsable informatique.
En 1990, il intègre Pacifica au poste de responsable informatique, réseaux et télécom et participe à la construction de la compagnie d’assurance dommages en créant les systèmes d’informations pour le siège et les différentes Unités de Gestion des Sinistres.
En 1999, il devient responsable de projet clientèle à la Caisse Nationale de Crédit Agricole puis sous-directeur du système d’information commercial et canaux directs chez Dexia en 2000.
En 2001, il est nommé responsable des études informatiques de Pacifica puis directeur des systèmes d’information en 2003.
La Médicale de France s’affirme comme le partenaire des professionnels de santé
La Médicale de France est une compagnie d’assurance dédiée aux professionnels libéraux de santé. Acteur majeur sur son marché, elle compte 195 000 clients soit plus d’un praticien libéral sur trois et propose un éventail complet de garanties en assurance dommages, en épargne et en prévoyance.
Avec 310 millions de chiffre d’affaires à fin 2007 et un réseau de 102 agents généraux répartis dans 40 agences régionales, La Médicale de France est, depuis 60 ans, le partenaire des clients à toutes les étapes de leur vie professionnelle et de leur vie privée.
En 2008, forte de ses performances et soucieuse de construire son avenir, La Médicale de France lance un plan de développement à moyen terme, avec comme objectif de renforcer son action commerciale autour de trois axes : la distribution, l’offre et la communication.
(suite…)
L’Observatoire de la retraite pour l’UMR / IPSOS : Les baby boomers sont inquiets pour leur retraite
La 3ème vague de l’Observatoire des retraites, commandée par l’Union Mutualiste Retraite, se penche sur la manière dont les salariés de 45 ans et plus envisagent leur retraite. Elle montre que ces actifs, même proches de cette étape, sont inquiets et pas forcément très bien organisés ni informés.
L’UMR, qui regroupe les principales composantes de la Mutualité et qui gère le Corem, seul régime complémentaire par point, dévoile les résultats du nouveau volet de l’Observatoire des retraites, initié en 2006 et réalisé en partenariat avec IPSOS. Réalisée auprès d’un échantillon représentatif de 512 salariés de 45 ans et plus, l’enquête traduit l’inquiétude de ces actifs pour leur retraite, en particulier quant au maintien de leur niveau de vie.
> La retraite synonyme d’inquiétude
80% des personnes interrogées se déclarent inquiètes lorsqu’elles pensent à leur retraite et 27% se disent même très inquiètes. En 2007, les jeunes actifs apparaissaient proportionnellement plus inquiets (88%) mais le niveau d’inquiétude des salariés de 45 ans et plus est élevé compte tenu de la proximité de l’échéance de la retraite.
La principale source d’inquiétude des salariés de 45 ans et plus concerne le maintien de leur niveau de vie une fois à la retraite.
84% d’entre eux sont inquiets quant au montant de la retraite qui leur sera versé.
76 % le sont également par rapport à la proportion de revenus qu’ils devront consacrer au financement de leur retraite.
AXA Private Equity ouvre son septième bureau à Zurich
AXA Private Equity, vient d’ouvrir à Zurich un nouveau bureau. Elle renforce ainsi sa présence en Europe et poursuit son développement à l’international. Elle compte désormais 7 bureaux à Paris, Londres, Francfort, New York, Milan, Singapour et Zurich.
L’ouverture du bureau de Zurich s’inscrit dans la stratégie d’AXA Private Equity de développement à l’international et lui permet de renforcer ses liens avec AXA Winterthur, basé en Suisse. Le bureau sera dirigé par Martin Kessi.
L’équipe devra gérer le portefeuille d’actifs de private equity d’AXA Winterthur, mais aussi développer l’offre de services et de produits sur mesure pour les particuliers, qu’il s’agisse des clients des grandes banques privées basées en Suisse ou de family offices. En outre, ce bureau aura pour mission de chercher des opportunités de rachat secondaire de portefeuilles de private equity auprès de grands investisseurs institutionnels suisses.
Cegid au cœur du système d’information financier de l’Union Mutualiste Retraite
L’Union Mutualiste Retraite, caisse de retraite complémentaire née en 2002 et regroupement de puissants partenaires mutualistes, a misé sur les offres de la gamme Finance / Fiscalité de Cegid pour développer son activité et séduire de nouveaux adhérents. Un choix qui lui permet aujourd’hui de gagner en temps, en fiabilité et en sécurité.
L’Union Mutualiste Retraite (UMR) est une caisse de retraite complémentaire unique en son genre. En effet, cette jeune entreprise a été créée en 2002, mais n’en bénéficie pas moins de plus de 50 années d’expérience au travers d’un de ses fonds de retraite dont les premières adhésions remontent aux lendemains de la seconde guerre mondiale. En effet, la transposition des directives assurances européennes dans le code de la Mutualité avait mis fin en 2001 au fonctionnement des caisses autonomes de l’ancien opérateur. Les principaux partenaires mutualistes de l’Hexagone s’étaient alors regroupés pour donner naissance à l’UMR. Aujourd’hui ouverte à tous les mutualistes, l’UMR regroupe plus de 249 000 sociétaires actifs et quelques 131 800 allocataires et emploie près de 90 salariés chargés de gérer plus de 7 milliards d’euros d’actifs.
(suite…)
Etat de la prévention santé en Suisse: étude Moniteur de la santé
Pour plus de prévention en matière de santé
Ainsi qu’il ressort du dernier « Moniteur de la santé », 73% des citoyennes et des citoyens suisses considèrent qu’ils en font suffisamment en matière de prévention de santé personnelle. Parallèlement, deux tiers des personnes interrogées pensent qu’il appartient à chacun d’en faire davantage en matière de prévention de santé. Par ailleurs, on attend notamment des ligues de santé, des caisses-maladie, des médecins ainsi que de la Confédération et des cantons (tendance) un engagement plus marqué en matière de prévention de santé. Les auteurs du « Moniteur de la santé gfs 2008 » expliquent cette attitude modérément positive en matière de prévention de santé par le fait qu’une proportion de plus en importante de Suissesses et de Suisses qualifient leur état de santé personnel de « mauvais ».
Depuis quelques années, les Suissesses et les Suisses ont tendance à juger moins positivement leur état de santé. A la question « Comment vous sentez-vous actuellement sur le plan de la santé ? », 13% ont répondu « mal » dans la récente enquête relative au « Moniteur de la santé gfs ». A titre de comparaison, il y a 10 ans et au-delà, le pourcentage à cette réponse se situait régulièrement aux alentours de 1%. Parallèlement, néanmoins, on enregistre un recul de la proportion de citoyennes et de citoyens qui recourent à une prise en charge médicale. Au cours des 12 mois ayant précédé l’entretien, 31% des personnes interrogées avaient consulté un médecin. Or, 9 ans plus tôt, le taux correspondant était encore de 12 points plus élevé.
Ce qui progresse, en revanche, ce sont les attentes placées dans la consultation médicale. Une majorité de 51% escompte recevoir le meilleur traitement possible. Les réflexions économiques gagnent toutefois en importance et priment chez une personne interrogée sur cinq dans la récente enquête.
AVIVA SANTHIA SANTE : lancement d’une campagne publicitaire
Aviva Assurances et Amis commercialisent depuis le 15 avril Santhia, la nouvelle assurance complémentaire santé d’Aviva respectivement via les agents généraux et via les courtiers. Afin de développer la notoriété et de mettre en avant les atouts de ses nouveaux contrats santé, la compagnie mène actuellement une campagne radio nationale destinée aux séniors et aux familles.
Aviva a choisi de cibler prioritairement les familles et les séniors avec un spot et un dispositif radio
spécifique à chacune de ces cibles. Les radios retenues sont essentiellement des généralistes nationales.
Spot « famille »
Résumé : un couple attend des invités pour un repas de famille. Le mari aimerait « moucher » son beau-frère. La femme lui conseille de se vanter de sa nouvelle complémentaire santé Santhia qui leur permet de choisir leur niveau de remboursement en soins optiques et dentaires tout en payant un prix juste.
Le couple invité arrive. Le mari questionne directement son beau frère sur sa santé, ses dents sa vue.
Spot « séniors »
Résumé : deux hommes âgés se croisent. L’un d’eux est habillé et parle « comme un jeune ». Il explique que c’est la seule solution qu’il a trouvé pour souscrire une bonne complémentaire santé. L’autre lui dit qu’avec Santhia, il peu souscrire jusqu’à 80 ans, sans questionnaire médical ni délai d’attente.
Les deux spots mentionnent l’offre spéciale « 3 mois gratuits » valable pour toute souscription effectuée jusqu’au 15 juillet 2008 (hors Santhia hospi).
M. Gérard Andreck, président de la MACIF, prend la présidence du Groupement des entreprises mutuelles d’assurance (GEMA)
Les membres du GEMA, réunis en assemblée générale et en Commission Exécutive le 1er juillet 2008 ont porté M. Gérard Andreck, président de la MACIF, à la présidence du Groupement des entreprises mutuelles d’assurance pour un mandat statutaire de trois ans.
Ils ont également renouvelé la composition du Bureau du GEMA de la manière suivante jusqu’à la prochaine assemblée générale du Groupement.
Président : M. Gérard Andreck, président, MACIF
Vice-présidents : M. Etienne Couturier, directeur général délégué, MAAF
M. Gaël Flichy, président directeur général, AGPM
Trésorier : M. Patrick Jacquot, président directeur général, AMDM
Membres : M. Roger Belot, président directeur général, MAIF
M. Bernard Bellec, président, SMACL
Mme Nathalie Broutèle, directrice générale, NATIXIS Assurances
M. Patrice Forget, directeur général délégué, GMF
M. Daniel Havis, président directeur général, MATMUT
La nouvelle gamme Multi Risques Habitation (MRH) d’AXA France
AXA France poursuit sa stratégie d’offre segmentée sur un marché en évolution.
Le marché de l’assurance habitation reste dynamique en 2007 avec une croissance estimée de 5.5% portée par la progression de l’indice FFB (estimée à 5,2% en 2007).
AXA France avec 13.6% de parts de marché en 2006, reste au premier plan. La volonté d’innovation d’AXA France se traduit par la création de 6 Packs répondant aux besoins spécifiques des clients qui viennent compléter nos Formules Habitation.
– La nouvelle Formule Propriétaire Non Occupant
Face à un nombre de propriétaires-bailleurs augmentant en moyenne de 2,4% par an depuis 10 ans, AXA France a décidé d’enrichir sa Formule Propriétaire Non Occupant notamment à travers :
– de l’assistance : organisation de diagnostics obligatoires (diagnostic du plomb par exemple) et prise en charge des frais de déplacement du propriétaire en cas de sinistre,
– de nouvelles garanties : prise en charge des aménagements immobiliers et des éléments électroménagers de la salle de bains et de la cuisine en cas de sinistre.
(suite…)
Prise en charge de la dépendance et création du cinquième risque : la mission commune d’information du Sénat adopte son rapport d’étape
La mission commune d’information sur la prise en charge de la dépendance et la création du cinquième risque, que préside Philippe Marini (UMP – Oise) et dont le rapporteur est Alain Vasselle (UMP – Oise), a adopté, mardi 8 juillet, son rapport d’étape.
Les orientations qu’elle préconise répondent à quatre objectifs :
1. Un effort plus équitable en direction des bénéficiaires de l’APA à domicile
● Relever les plafonds d’aide de façon ciblée pour les personnes isolées et les patients atteints de maladies neurodégénératives (comprenant une aide accrue aux aidants de patients atteints d’Alzheimer)
● Permettre une revalorisation des plans d’aide
● Améliorer la grille Aggir pour parvenir à un usage uniforme de cet outil sur tout le territoire et mieux prendre en compte la spécificité des maladies neurodégénératives. A défaut, adopter un autre outil
● Solliciter les patrimoines les plus élevés par le choix offert à l’entrée en dépendance entre une APA à 50% ou une prise de gage de 20 000 euros au maximum sur la fraction du patrimoine dépassant un seuil déterminé (seuil à fixer à partir de 150 000 euros)