La Retraite Mutualiste du Combattant (RMC) est le produit historique de la Carac. C’est un contrat d’assurance-vie individuel monosupport en euros permettant de cumuler trois avantages significatifs, sous réserve de respecter les plafonds en vigueur :

• un atout fiscal :
  • la déduction du revenu imposable des cotisations versées sur le contrat au cours de l’année passée, dans le cadre du plafond de 1 987,50 € (valeur 2024),
  • en sachant que celle-ci ne vient pas rogner le plafond de déductibilité fiscale au titre du plan d’épargne retraite individuel par ailleurs,
• un atout social et fiscal:
  • l’exonération de l’impôt sur le revenu,
  • et l’absence de tout prélèvement social,
  • sur la retraite versée au titre du contrat le moment venu,
• un atout financier pour les retraités, à savoir une revalorisation par l’Etat des rentes servies afin :
  • de compenser autant que possible l’effet de l’inflation,
  • pour maintenir le pouvoir d’achat de ceux qui ont servi la Nation.

La Retraite Mutualiste du Combattant est accessible :

• aux anciens combattants susceptibles de prouver la participation à une mission ou un conflit extérieur (OPEX) durant au moins 90 jours,
• aux veufs / veuves / orphelins / ascendants d’un militaire mort pour la France au combat.

La RMC est un cadre de retraite supplémentaire par capitalisation conçu par la Nation française, au sortir de la première guerre mondiale (conflit 1914-1918) pour remercier ceux qui se sont engagés pour elle en risquant leur vie (et qui pour certains d’entre eux sont allés jusqu’au don de leur vie). D’où un cadre financier très attractif que toute personne éligible au régime a objectivement tout intérêt à souscrire.

La Retraite Mutualiste du Combattant de la Carac fonctionne dans le cadre fiscal de l’assurance-vie sous la forme d’un contrat monosupport en euros :

• L’adhérent décide librement de ses versements qui peuvent être (de manière non exclusive) :
  • soit libres en fonction de ses rentrées d’argent, avec un minimum de 80 €,
  • soit périodiques avec un montant mensuel minimum de 50 €.
• La Carac gère l’argent investi par les adhérents dans son actif général, un fonds en euros, ce qui signifie :
  • une totale garantie de l’épargne investie pour l’assuré.
  • une revalorisation annuelle de l’épargne sous la forme d’une participation aux bénéfices.
• La table de mortalité qui sera appliquée, le cas échéant, lors de la transformation du capital constitué en retraite (rente viagère) est garantie par la Carac au fil des versements de l’adhérent. C’est un atout pour l’adhérent au regard de l’allongement constant de l’espérance de vie.

La rente versée à l’adhérent peut être demandée dès ses 50 ans, sous réserve que celui-ci ait au moins cotisé durant 10 années au régime. La retraite est alors payée semestriellement par la Carac. Elle bénéficie en outre d’une bonification annuelle de la part de l’Etat français, au-delà de ce que les revenus financiers du régime permettent de donner.

Le fonds en euros de la Carac a une composition financière particulièrement adaptée à un engagement de long terme en vue de la retraite, avec

• un investissement à hauteur de 11,87 % en immobilier et de 11,43 % en actions (données au 31 décembre 2023 en valeur nette comptable), ce qui est une sécurité pour l’adhérent en termes de rendements futurs,
• des niveaux significatifs de plus-values latentes sur ces deux poches d’investissement (données au 31.12.2023) :
  • Immobilier : 61,6 % de plus-values latentes,
  • Actions : 26,4 % de plus-values latentes.

Le conseil de Good Value for Money est d’associer l’ouverture d’une Retraite Mutualiste du Combattant (RMC) avec celle d’un Plan d’Epargne Retraite Individuel (PER In) afin d’optimiser au mieux les dispositifs d’exonération fiscale et sociale de la RMC. C’est notamment le rôle du conseiller mutualiste de la Carac.

Principaux atouts de la Retraite Mutualiste du Combattant de la Carac

• Performance financière brute de l’actif général de la Carac :
  • de 3,80 % en 2023,
  • de 3,72 % en 2022,
  • de 3,64 % en 2021,
  • de 3,91 % en 2020,
  • de 3,95 % en 2019.
• Sécurité pour l’adhérent vis-à-vis de l’inflation et de la remontée des taux constituée par les niveaux très élevés de plus-values latentes sur la poche immobilière et la poche actions de l’actif général de la Carac.
• Fiscalité très favorable (sous réserve de certains plafonds) avec une déduction des versements du revenu imposable et une non-fiscalisation de la retraite versée.
• Possibilité de mettre en place des versements mensuels dès 50 €.
• Absence d’actionnaires à rémunérer à la Carac permettant une meilleure valorisation de l’épargne et des rentes pour les adhérents.

Principaux inconvénients de la Retraite Mutualiste du Combattant de la Carac

• Produit réservé aux seuls anciens combattants et à leurs proches en cas de décès en opération d’un militaire.
• Impossibilité d’investir sur des unités de compte (UC).
• Plafonnement des atouts fiscaux et sociaux de la RMC.

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