Prévention :Des tests capillaires contre l’alcool au volant
Non ce n’est pas tiré par les cheveux, l’académie nationale de pharmacie conseille les préfets à lancer la pratique des tests capillaires chez les conducteurs pris en flagrant délit de conduite en état d’ivresse.
L’Académie nationale de Pharmacie recommande de pratiquer des tests capillaires pour les conducteurs ayant écopé une suspension de permis pour cause de conduite sous l’emprise d’alcool.
Aujourd’hui ces conducteurs doivent passer un bilan sanguin avant de récupérer leur permis de conduire. Selon l’académie ces tests ne sont pas fiables pour connaître la consommation réelle d’alcool du conducteur sanctionné, c’est pourquoi elle prône des tests capillaires qui permettent de déceler la consommation d’alcool sur plusieurs mois.
“En cas de suspension du permis pendant 3 mois, il suffit d’analyser trois centimètres de cheveux pour prouver l’abstinence ou à l’inverse la consommation d’alcool au cours des trois mois en question.”
Selon l’institution cela permettrait de prévenir les possibles récidives, ce genre de tests permettrait également de déceler les addictions comme l’alcoolisme, ou l’usage régulier de psychotropes.
L’Académie nationale de Pharmacie recommande de pratiquer des tests capillaires pour les conducteurs ayant écopé une suspension de permis pour cause de conduite sous l’emprise d’alcool.
Aujourd’hui ces conducteur doivent passer un bilan sanguin avant de récupérer leur permis de conduire. Selon l’académie ces test ne sont pas fiables pour connaître la consommation réelle d’alcool du conducteur sanctionné, c’est pourquoi elle prône des tests capillaires qui permet de déceler la consommation d’alcool sur plusieurs mois.
“En cas de suspension du permis pendant 3 mois, il suffit d’analyser trois centimètres de cheveux pour prouver l’abstinence ou à l’inverse la consommation d’alcool au cours des trois mois en question.”
Selon l’institution cela permettrait de prévenir les possibles récidives, ce genre de tests permettrait également de déceler les addictions comme l’alcoolisme, ou l’usage régulier de psychotropes.