Assurance animaux : Aliments thérapeutiques pour chiens et chats, 60 ans d’expertise
Les aliments dits thérapeutiques on pour but d’aider à soigner de nombreux problèmes de santé chez les chiens et chats. Ils peuvent intervenir seuls, sur prescription vétérinaire, ou bien en complément d’un traitement.
Les aliments dits thérapeutiques on pour but d’aider à soigner de nombreux problèmes de santé chez les chiens et chats. Ils peuvent intervenir seuls, sur prescription vétérinaire, ou bien en complément d’un traitement.
Troubles urinaires, problèmes dermatologiques, maladies rénales, problèmes de mobilité, maladies gastro-intestinales, voire obésité ; les aliments dits thérapeutiques – on les nomme aussi diététiques – peuvent aujourd’hui jouer un rôle prépondérant dans la guérison de certaines pathologies.
A visée thérapeutique, ces aliments sont donc prescrits par le vétérinaire. Certains de ces aliments sont d’ailleurs utilisés seuls, en ce sens où ils ne viennent pas en complément d’un traitement médicamenteux.
1948 : apparition des premiers aliments thérapeutiques
De nombreuses marques proposent des gammes d’aliments thérapeutiques.
SantéVet, spécialiste de l’assurance santé chien et chat a lancé une nouvelle formule en partenariat avec Hill’s : SantéVet Optimal. Cette nouvelle formule rembourse en totalité les frais liés aux accidents et aux maladies (jusqu’à 2500 € par an), tout en faisant bénéficier d’un « Pack Prévention » d’un montant de 100 € par an que le propriétaire peut utiliser à sa guise (remboursement de vaccins, vermifuges, antiparasitaires, etc.). Une prise en charge du surcoût des frais (20 %) liés à l’achat de ce type d’aliments thérapeutiques (par rapport à une alimentation dite physiologique) chez le vétérinaire est également prévue dans le contrat
« Les aliments thérapeutiques existent depuis 1948 », rappelle Michel Meunier, directeur des affaires vétérinaires chez Hill’s. « Ces aliments font l’objet d’études cliniques très poussées avec un haut niveau de preuve », poursuit-il. « Aujourd’hui, nous avons suffisamment de recul pour en connaître tous les bénéfices pour les animaux. »