Assurance animaux : Chien de race, mode d’emploi
Chez les chiens de pure race, on entend souvent parler de standard. C’est le texte officiel qui sert à le décrire. Un chien de pure race est souvent plus onéreux à l’achat qu’un autre et, ses prédispositions à certaines maladies incitent de plus en plus, les propriétaires à prendre les devants en souscrivant une assurance santé animale.
Chez les chiens de pure race, on entend souvent parler de standard. C’est le texte officiel qui sert à le décrire. Un chien de pure race est souvent plus onéreux à l’achat qu’un autre et, ses prédispositions à certaines maladies incitent de plus en plus, les propriétaires à prendre les devants en souscrivant une assurance santé animale.
Le standard est une référence. Il s’agit d’un texte officiel que la FCI (Fédération cynologique Internationale), chapeautant les sociétés canines qui lui sont affiliées (80 au total à travers le monde – la Société centrale canine pour la France), doit valider et approuver. Ce texte est ensuite traduit dans les langues des différents pays où il est diffusé.
Le standard du bulldog anglais a été le premier a avoir été publié dans l’histoire des races canines.
Chaque race dispose de son propre standard officiel dès lors qu’elle est reconnue par la FCI (Fédération cynologique Internationale). Ce document décrit ce à quoi doit tendre le chien idéal. Diverses indications sont données quant à sa morphologie, son aspect physique.
Généralement, on trouve également un bref aperçu historique de la race et les grandes lignes de son caractère. Les défauts rendant impropre la race en vue de la confirmation, ou bien tout simplement pour qu’un chien soit considéré comme appartenant à la race, sont listés.
En France, les races de chiens sont réparties en dix groupes, et leur appellation permet de connaître la fonction à laquelle ils se destinent, quelquefois nous renseignent sur leur morphologie ou leur type. Les dix groupes sont les suivants :
– Groupe 1 : chiens de berger et de bouvier (sauf chiens de bouviers suisses)
– Groupe 2 : chiens de type pinscher et schnauzer, molossoïdes, chiens de bouviers suisses
– Groupe 3 : terriers
– Groupe 4 : teckels
– Groupe 5 : chiens de type spitz et de type primitif
– Groupe 6 : chiens courants et chiens de recherche au sang
– Groupe 7 : chiens d’arrêt
– Groupe 8 : chiens leveurs de gibier, rapporteurs et chiens d’eau
– Groupe 9 : chiens d’agrément ou de compagnie
– Groupe 10 : lévriers
Le chien parfait n’existe pas
Le chien parfait, celui répondant en tous points à ceux listés par son standard existe-t-il ? Non, mais nombreux sont ceux qui s’en approchent et c’est ce qui fait la qualité d’un cheptel, que ce soit en France ou ailleurs.
Pour le néophyte, le texte d’un standard peut sembler très précis, trop même parfois ! La marge de manœuvre permettant aux juges qui s’y réfèrent pour donner leur point de vue sur un chien existe tout de même.
Un standard peut être amené à évoluer dans le temps. Taille, poids, couleur de robe, pour ne citer que ces exemples, peuvent connaître des changements, des « aménagements ».
On comprendra dès lors pourquoi un chien de race à un prix. Si de plus il est prédisposé à certaines maladies – non pas que les chiens de pure race soient nécessairement tous plus fragiles – une assurance santé permettra de faire face aux soins.