Assurance santé animale : accidents, maladies et spécialisations vétérinaires
Le montant de la prime est un facteur déterminant pour bien choisir son assurance santé animale contre accidents et maladies. Mais encore faut-il que la prise en charge soit suffisamment étendue pour permettre l’accès à des pratiques vétérinaires telles que certaines spécialisations.
L’accident seul : une couverture insuffisante
Assurer son animal de compagnie (chien, chat ou NAC) doit permettre aux maîtres de s’y retrouver, mais surtout de faire face en cas d’imprévu. Mieux vaut s’orienter vers une assurance qui prend en charge les accidents, mais aussi la maladie. Même si les accidents ne représentent en moyenne moins de 20 % des soins pratiqués sur les animaux, ils ne sont pas à négliger.
La valse des tarifs d’assurances
Vient ensuite la question du montant de la prime. Avec la multiplication des offres proposées, le futur souscripteur se retrouve face à un large éventail de choix et de prix. Ce dernier est déterminant dans le choix du contrat, mais le plus bas ne s’avère pas nécessairement être le plus avantageux.
Médecines douces et comportementales
Les exclusions, c’est-à-dire ce qui n’est pas pris en charge et remboursé par l’assurance santé animale doivent être étudiées. Au-delà des pathologies exclues que l’on retrouve dans pratiquement tous les contrats – comme celles héréditaires en tout premier lieu – l’intérêt pour le maître est d’opter pour un contrat prenant en charge certaines spécialisations vétérinaires. Des médecines qualifiées parfois de “douces”, mais qui peuvent être intéressantes dans le parcours de soins des animaux, en compléments, voire dans certains cas en remplacements des traitements traditionnels.
Il peut s’agir de l’homéopathie, de la physiothérapie, de l’acupuncture ou encore de l’ostéopathie, à condition toutefois que ces pratiques soient réalisées par des vétérinaires.
Si les vétérinaires soignent le corps, ils soignent aussi la tête. Un trouble du comportement peut également avoir des conséquences sur l’état de santé de l’animal. Un contrat d’assurance permettant d’être remboursé des consultations auprès d’un vétérinaire comportementaliste sera donc un avantage supplémentaire.