Macifilia veut rejoindre le nouveau dispositif de garantie des risques locatifs
Macifilia, filiale du groupe Macif, vient d’adresser à l’APAGL (Association Pour l’Accès aux Garanties Locatives) une lettre d’intention afin d’adhérer et de travailler à la mise en œuvre opérationnelle du nouveau dispositif de garanties des risques locatifs. La compagnie souhaite déployer ce dispositif graduellement auprès de l’ensemble de ses partenaires, de ses intermédiaires et de la Macif.
Mise en place fin 2006, la garantie des risques locatifs a été totalement remaniée l’année dernière sur la base de négociations engagées entre le gouvernement, les partenaires sociaux gestionnaires d’Action Logement, le GEMA et la FFSA.
Le décret relatif au nouveau dispositif de la garantie des risques locatifs a été promulgué le 23 décembre dernier. Grâce à l’aide financière de l’État, la nouvelle garantie favorisera l’accès au logement du plus grand nombre de locataires, tout en protégeant les propriétaires bailleurs contre les risques de loyers impayés et de détérioration de leur logement. A ce propos, ce dispositif propose un produit unique, avec un socle commun, permettant de couvrir les propriétaires contre les risques d’impayés de tous les locataires présentant un taux d’effort inférieur ou égal à 50%.
Macifilia s’inscrit pleinement dans ce nouveau dispositif. « Nous avons participé, aux côtés du GEMA aux travaux de refondation de cette GRL (Garantie des Risques Locatifs), avec pour objectif de favoriser l’accès au logement des populations à risques. Étant filiale d’un groupe aux valeurs mutualistes affirmées, nous ne pouvons que nous réjouir de la mise à disposition de cette nouvelle formule » explique Elisabeth Oberli, Directrice Générale de Macifilia.
Et cette dernière d’ajouter que « en tant qu’expert sur le marché des loyers impayés, c’est tout naturellement que Macifilia va entrer dans ce dispositif. En effet, notre savoir-faire dans ce domaine nous permet d’être en capacité de déployer cette nouvelle GRL. Nous répondons ainsi aux besoins du marché, d’une part en sécurisant les bailleurs et d’autre part en permettant à des ménages, et notamment les plus modestes, ne répondant pas à des critères classiques de solvabilité, d’accéder au logement ».