Qui se cache derrière les experts médicaux envoyés au chevet de Johnny Hallyday ?
Les bonnes nouvelles sur l’état de santé de Johnny Hallyday ont fusé tout le week-end. Les proches de la rock star se sont succédé pour rassurer les fans. Mais Johnny reviendra-t-il sur scène ou le tour 66 sera-t-il arrêté ? C’est la question à plusieurs dizaines de millions d’euros pour Ovatio, le cabinet de courtage en assurance qui couvre la tournée de l’idole des jeunes, selon nos informations.
Le professeur Yves Catonné et le docteur François Zuccarelli sont arrivés tous deux à Los Angeles. Direction l’hôpital Cedars-Sinaï où est actuellement hospitalisé Johnny Hallyday. Mandatés par les assureurs, ils ont pour mission d’évaluer l’état de santé de Johnny Hallyday et de déterminer s’il sera apte à reprendre sa tournée d’adieu, le « Tour 66 ». Selon des sources concordantes, c’est Ovatio, un cabinet de courtage parisien qui assure la tournée de Johnny Hallyday. Contacté par nos soins, Ovatio n’a pas souhaité confirmer cette information avançant l’argument du secret professionnel. Un demi aveu…
Il en va de même pour les pertes annoncées par plusieurs médias en cas de non poursuite du « Tour 66 ». Certains parlent de 2 millions d’euros par concert annulé, de 20 millions pour la vingtaine de représentations restantes. Une chose est certaine, la facture se chiffrera en plusieurs dizaines de millions d’euros si Johnny – et son producteur – devaient renoncer à ses derniers concerts.
L’enjeu est donc de taille pour le cabinet de courtage parisien qui assure la tournée de la rock star. Toutefois, selon nos informations, le risque serait partagé par plusieurs assureurs. Ovatio a placé le risque d’annulation par l’intermédiaire chez différents assureurs majeurs. En effet, pour des évènements de cette envergure, les sommes en jeu sont tellement importantes que les compagnies sont enclines à pratiquer la co-assurance. Autrement dit, plusieurs sociétés prennent chacune en charge une partie du risque. Concernant la tournée de Johnny Hallyday, c’est la Lloyds, compagnie d’assurance anglaise qui couvrirait la plus grande part. Axa aurait également hérité d’un tout petit morceau de risque.