Comment identifier la perte d’autonomie chez une personne ?
L’identification précoce de la perte d’autonomie permet de mettre en place des moyens (suivi médical, aides à domicile) pour en limiter les conséquences
L’identification précoce de la perte d’autonomie permet de mettre en place des moyens (suivi médical, aides à domicile, soutien de l’entourage) pour en limiter sa portée.
Il existe plusieurs signes annonciateurs pour lesquels il faut être donc être particulièrement vigilant :
– A l’origine de la perte d’autonomie, il y a souvent un élément déclencheur (maladie, chute, choc…).
– Des ennuis de santé nouveaux et récurrents (troubles de l’équilibre, chutes déficience auditive, oculaire, douleurs…) peuvent être annonciateurs de la perte d’autonomie.
– Déséquilibre alimentaire, dénutrition, diminution des activités physiques et des déplacements engendrent par ailleurs une réduction de la masse musculaire qui accélère la perte d’autonomie.
– Sur le plan psychologique, la négligence dans l’entretien de la maison, de la préparation des repas, dans la gestion des affaires courantes (suivi administratif, factures à payer…) ou dans l’hygiène personnelle peuvent révéler des troubles mentaux et de la mémoire, voire des déficiences psychiques plus sévères comme la maladie d’Alzheimer. Sautes d’humeur, colères irrationnelles, angoisse et tristesse peuvent également être les signes annonciateurs d’une dépression qui favorisera la perte d’autonomie.
En partenariat avec l’OCIRP