Le 3 septembre, plus de 15 millions d’élèves ont repris le chemin des cours, regagnant leurs établissements respectifs: écoles maternelles, primaires, collèges et lycées. Si les experts s’accordent pour dire qu’un enfant est moins victime d’accidents dans son cadre scolaire que dans la vie courante, il n’est pas rare que les écoles soient le théâtre de bobos divers, blessures en tout genre ou fractures.
Au regard de la loi, un enfant a l’obligation d’être assuré pour tout dommage corporel, matériel et immatériel qu’il pourrait causer (responsabilité civile) au cours des différentes activités; scolaires et extrascolaires. Contracter une assurance scolaire n’est toutefois pas considéré comme obligatoire. Ce qui n’empêche cependant pas l’Éducation Nationale de fortement la recommander. Pas assez informés, frileux et se pensant suffisamment protégés par leur assurance habitation, de nombreux parents rejettent l’idée de contracter une assurance scolaire. Des causes de cette incompréhension des parents face à cette couverture, à sa réelle utilité, en passant par les contrats qui valent la peine, News Assurances a décrypté le produit pour ses lecteurs.