SantéVet soutient toujours plus le développement de la santé animale
SantéVet signe la Charte de la profession vétérinaire pour la collaboration entre les docteurs vétérinaires et les sociétés d’assurance
Leader de l’assurance des chiens et des chats en France et numéro 1 chez les vétérinaires, SantéVet s’implique une fois de plus pour favoriser l’accès pour tous à la médecine vétérinaire et signe, ce jour, la Charte que la profession vétérinaire vient d’élaborer.
Cette «Charte pour la collaboration entre les docteurs vétérinaires et les sociétés d’assurances médico-chirurgicales pour animaux de compagnie» a été élaborée au sein de la commission Assurances de l’Ordre des Vétérinaires et vient d’être approuvée et soutenue par les organismes professionnels : L’Ordre National des Vétérinaires, le Syndicat National des Vétérinaires d’Exercice Libéral (SNVEL) et l’Association Française des Vétérinaires pour Animaux de Compagnie (AFVAC).
Éthique et transparence, les valeurs clé de la Charte
Ce document a pour objectif de faciliter la collaboration entre les vétérinaires praticiens et les sociétés d’assurance. Véritable référence, la charte vise à garantir d’une part la liberté commerciale de l’assureur, et d’autre part l’indépendance des vétérinaires, pour une meilleure prise en charge des frais médicaux.
En effet, elle stipule l’interdiction de constituer un réseau de vétérinaires (le propriétaire de l’animal peut ainsi choisir chez qui il se rendra), l’absence de tiers payant et qu’aucune tarification ne sera imposée aux vétérinaires par l’assureur.
SantéVet et les vétérinaires, véritables partenaires
Pour Jérôme Salord, fondateur et Président-Directeur Général de SantéVet, l’aboutissement de ce projet de charte est une excellente nouvelle : « Pour nous qui travaillons quotidiennement au bien-être de l’animal et au développement de sa santé, ce document vient renforcer l’esprit de partenariat essentiel entre les vétérinaires et les assureurs ». Et d’ajouter : « Ce partenariat est un moyen fort et efficace de lutter contre le manque de prévention et contre l’insuffisance, malheureusement trop souvent constatée, de soins prodigués aux animaux de compagnie ».