Pro BTP annonce les rendements 2008 de ses contrats d’assurance vie en euros et multisupports
Les contrats Livret CONFIANCE, Billet CONFIANCE et le fonds en euros du contrat Multisupport CONFIANCE de la SAF BTP VIE* bénéficieront d’un taux de 4,30 % net de frais de gestion et brut de prélèvements sociaux pour 2008.
Le rendement moyen annuel sur les huit dernières années est de 4,76 %, pour une inflation moyenne sur la période de 1,82 % ; ainsi les contrats de PRO BTP continuent à se classer parmi les meilleurs du marché.
Conformément à ses valeurs, PRO BTP attribue cette revalorisation à la totalité de l’encours en euros géré par la Société, soit 2,20 Milliards d’euros.
PRO BTP confirme ainsi encore une fois sa volonté d’assurer à tous ses adhérents une progression régulière et pérenne pour un placement solide sur la durée.
* SAF BTP VIE : Société d’assurances familiales des salariés et des artisans vie.
La nouvelle plateforme multiproduits de Linxea Vie
LinXea a lancé en Novembre 2008 dernier sa nouvelle plateforme multiproduits. De nombreuses nouveautés sont à disposition des clients de Linxea et des visiteurs sur le site de Linxea.
Les nouveaux produits
Dans un souci de diversification, LinXea a créé 2 nouveaux contrats d’assurance vie en association avec ACMN VIE : LinXea Evolution et LinXea Diversifié (pour en savoir plus, vouspouvez consulter le dossier de presse disponible à la fin de cet article).
Il sera également possible de traiter sur les CFD avec la nouvelle plateforme de LinXea grâce à une association avec IG Markets.
Les nouveaux services
Sera à disposition sur le site une nouvelle rubrique « Infos et Marchés », qui regroupera l’essentiel de l’actualité boursière.
Un comparateur indépendant va être intégré sur le site afin de permettre aux visiteurs de choisir le contrat d’assurance vie qui leur convient le mieux.
Pour assurer la promotion du site, LinXea mettra en place une « Opération Parrainage », qui permettra aux parrains et aux filleuls de gagner de très beaux cadeaux.
Enfin LinXea continue de faire évoluer ses contrats d’assurance vie en rajoutant 60 supports à son contrat d’assurance vie LinXea Vie.
Nouveautés et innovations 2009
Prévu pour janvier 2009 :
Accès à plus d’arbitrages gratuits sur LinXea Vie, LinXea PEP et LinXea Capi PEA à partir de janvier 2009
Innovation :
Un espace client unique va être mis en place par LinXea – Celui-ci est actuellement disponible en version BETA – Cet accès permettra de disposer d’une synthèse de comptes en ligne, avec la possibilité d’agréger ceux-ci.
La version V1 sera disponible au 1er trimestre 2009 et la V2 suivra avec encore de nouvelles options et la possibilité d’agréger les comptes entre différents assureurs.
Le Conservateur annonce les rendements 2008 de ses contrats d’assurance vie en euros
Malgré une baisse sensible par rapport à 2007 s’établissant en moyenne à -0.30%, le Conservateur n’en affiche pas moins pour 2008 des rendements au-dessus de la moyenne du marché (s’établissant à 4.42%).
AInsi, les contrats AREP, Conservateur Hélios et MIP Retraite (fiscalité Madelin) se voient crédités d’un taux net de 4.70% en 2008, en repli de 0.30% par rapport à 2007.
Le contrat Multivalor quant à lui est le moins rémunéré de la gamme avec un taux de 4.50% en repli de 0.25% par rapport à 2007.
Fait marquant, sur le marché du PERP, le contrat Conservateur PERP est rémunéré à hauteur de 5% en 2008, taux égal à clui de 2007.
En bref : AIG met en vente sa filiale assurance vie asiatique
Fidèle à sa ligne de conduite, AIG, le géant américain de l’assurance, se sépare d’une filiale d’assurance vie en Asie et espère encaisser 20 milliards de dollars révèle le Financial Times dans un article daté du 21 janvier. L’assureur doit rembourser sa dette contractée auprès de l’état américain et qui s’élève à 60 milliards de dollars.
Détenu à 80% par l’Etat, AIG n’a plus le choix et doit céder ses actifs pour rembourser le prêt colossal consenti par l’administration américaine.
La vente de ses filiales assurances-vie, nouvelle stratégie du groupe qui veut se concentrer sur l’assurance IARD (lire notre article) commence donc en Asie.
Le Financial Times cite des possibles repreneurs parmi lesquels un autre géant de l’assurance vie, le Chinois China Life, premier assureur vie au monde, la banque HSBC, Prudential, groupe d’assurance britannique ou le Prudential Financial, sa filiale américaine. L’Allemand Allianz et ManuLife Financial, un des plus grands groupes d’assurance aux Etats-Unis se seraient également renseignés.
La filiale pourrait être découpée en plusieurs tranches selon les offres des acquéreurs potentiels. Un premier tour d’enchère à lieu jusqu’à la fin du mois de février.
Pour rappel, AIG avait été sauvé par le gouvernement américain après avoir approché la faillite. L’Etat avait investi près de 150 milliards de dollars dans le groupe d’assurance.
Le groupe s’est également désengagé de son sponsoring maillot avec le club de football de Manchester United dont le contrat de 25M$ par an court jusqu’en mai 2010.
Source : Financial Times
Gaipare annonce les rendements 2008 de ses contrats d’assurance vie en euros
L’Association Gaipare est heureuse d’annoncer un taux de 4,15* % net pour le fonds en euros des contrats GAIPARE, à l’exception de GAIPARE Selectissimo.
Sont ainsi concernés les contrats : Livrets GAIPARE, GAIPARE II, GAIPARE Croissance, mais également GAIPARE Sélection et GAIPARE Select F.
Cette performance, qui traduit un repli modéré par rapport à 2007 (4,45 %), est supérieure de 3 % à l’inflation de l’année. Pour le contrat GAIPARE Selectissimo, le taux est de 3,90 %.
Le Président, Jean-Paul Jacamon, a commenté ces résultats : « il se confirme que même dans un environnement particulièrement troublé, le fonds en euros Gaipare offre à ses adhérents une solide opportunité alliant performance et sécurité pour leur épargne ».
En 2008, la collecte Gaipare atteint un montant de 98 millions d’euros, en baisse de 19 % par rapport à 2007. Ce recul s’explique en partie, mais en partie seulement, par le repli marqué du marché. Les discussions engagées par l’Association avec son assureur AGF sur la commercialisation des contrats n’ont pas encore abouti compte tenu des changements importants intervenus récemment au niveau des hommes et de l’organisation. Nous espérons que des décisions seront prises dès les premiers mois de 2009, afin de relancer le développement de Gaipare.
Par ailleurs, la modification de la réglementation concernant les assurances emprunteurs, ouvre en 2009 des perspectives importantes pour GAIPARE CANOPÉE, contrat de prévoyance lancé récemment.
* net après frais de gestion, hors CRDS, CSG et prélèvements sociaux.
La mutualité française et la Fondation Médéric Alzheimer au soutien des personnes concernées par la maladie d’Alzheimer
La Mutualité française et la Fondation Médéric Alzheimer signent une convention de mise à disposition de données sur les établissements d’hébergement et les dispositifs d’aide à domicile et aux aidants.
Dans le cadre des services d’accompagnement au maintien de l’autonomie, lancés en avril 2009, de Priorité santé mutualiste, la Mutualité française et la Fondation Médéric Alzheimer ont signé le 6 janvier 2009 une convention de mise à disposition de données sur les établissements d’hébergement et les dispositifs de prise en charge à domicile des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer et d’aide aux aidants.
L’un des objectifs de Priorité santé mutualiste est d’offrir aux adhérents mutualistes et à leurs proches, un point d’information unique accessible par téléphone, destiné à les conseiller et à les orienter. Dans le domaine de la maladie d’Alzheimer, la Fondation Médéric Alzheimer mettra à disposition de la Mutualité française les données contenues dans les annuaires qu’elle publie chaque année. Ces annuaires recensent, au niveau national, les établissements d’hébergement qui accueillent les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, et les dispositifs qui visent à aider les malades vivant à domicile et leurs aidants familiaux : consultations mémoire, accueils de jour, lieux d’information ou de coordination gérontologique et services d’aide aux aidants.
Priorité santé mutualiste regroupe un ensemble de services de prévention, d’information, d’orientation et d’accompagnement offerts à tous les adhérents des mutuelles pour leur permettre d’accéder à la qualité en santé à tous les moments de la vie : avant, pendant et après une maladie. Depuis avril 2008, Priorité santé mutualiste est rodé en Bretagne et en Languedoc Roussillon pour des pathologies lourdes : le cancer, les maladies cardio-vasculaires et les addictions. Les adhérents de ces deux régions peuvent bénéficier de rencontres santé et de services d’information, d’aide à l’orientation et d’accompagnement par téléphone.
Priorité santé mutualiste sera généralisé à l’ensemble du territoire en avril 2009 et élargi à de nouveaux thèmes : le maintien de l’autonomie en avril, et la santé visuelle au cours du quatrième trimestre 2009.
Rappelons que plus de 850.000 personnes seraient atteintes, selon l’Inserm, de la maladie d’Alzheimer ou d’une maladie apparentée en France en 2007. Le nombre de nouveaux cas annuels est estimé à 225.000Rappelons que plus de 850.000 personnes seraient atteintes, selon l’Inserm, de la maladie d’Alzheimer ou d’une maladie apparentée en France en 2007. Le nombre de nouveaux cas annuels est estimé à 225.000 (1). Selon la Caisse nationale d’assurance maladie(2), 400.000 personnes de plus de 60 ans (tous régimes d’assurance maladie confondus) étaient déclarées en affection de longue durée et/ou traitées pour une maladie d’Alzheimer ou apparentée en octobre 2008.
Sur cette base, le taux de prévalence est de 2,7% sur l’ensemble de la population âgée de 60 ans et plus. Ce taux progresse rapidement à partir de 75 ans pour atteindre plus de 14% à 90 ans. Les femmes sont plus fréquemment atteintes par cette maladie (1,4 fois plus que les hommes), et plus elles avancent en âge, plus cet écart augmente. L’âge moyen des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer est de 82 ans. 87,7% d’entre elles ont 75 ans ou plus. Les femmes représentent 72% des personnes malades. Le taux de reconnaissance en affection de longue durée pour la maladie d’Alzheimer augmente en moyenne de 11,3% par an depuis trois ans.
[1] Expertise collective Inserm. Maladie d’Alzheimer. Enjeux scientifiques, médicaux et sociétaux. Editions Inserm, Paris, 2007.
[2] Caisse nationale d’assurance maladie. Maladie d’Alzheimer, sa prévalence et les soins délivrés aux malades. Point d’information, 23 octobre 2008.
Plus d’informations sur la Fondation, sur www.fondation-mederic-alzheimer.org
La crise de crédit n’épargne plus aucune zone et atteint les BRICs : Coface annonce la mise sous surveillance de la Chine et de la Russie
Lors de son 13ème Colloque Risque Pays, Coface annonce la dégradation de 22 notations pays dont, pour la première fois, la mise sous surveillance négative simultanée de deux des plus grands pays émergents : la Chine et la Russie.
Au niveau mondial, le différentiel de croissance attendu est désormais de 3,1 points de PIB entre 2007 et 2009. Il n’était que de 2,5 points entre 2000 et 2001, lors de la précédente crise de crédit liée à l’éclatement de la bulle internet. Ce creux de croissance explique un indice d’incidents de paiement de Coface en hausse de près de 50% entre 2007 et 2008. Coface prévoit que la crise de crédit ne s’achèvera qu’avec l’année 2009.
Une crise de crédit d’une ampleur désormais équivalente à celles des années 80 et 90
La crise de crédit, qui a démarré début 2008, semble avoir atteint une nouvelle dimension au quatrième trimestre, à l’heure où même les entreprises de pays résistants jusqu’alors (à l’image de l’Allemagne), sont touchées à leur tour. Avec une nouvelle prévision de croissance mondiale à 0,9% en 2009, cette crise devient équivalente à celles du début des années 1980 et 1990 si l’on se base sur le choc d’activité. Le ralentissement de la croissance entre les années 2007 et 2009 devrait en effet atteindre 3,1 points – comme entre 1979 et 1982 et entre 1989 et 1991. Mais il reste plus faible que lors du 1er choc pétrolier. Sur l’ensemble de 2008, Coface enregistre une progression de 47% de son indice d’incidents de paiement, avec une accélération au quatrième trimestre.
Le panorama mondial du risque pays présenté lors du colloque souligne la propagation de la crise de crédit depuis son démarrage en janvier 2008 aux Etats-Unis, puis dans les autres pays dits « à bulle » (Royaume-Uni, Espagne, Irlande etc..). Plus aucune zone ne semble épargnée. Les pays industrialisés voisins de l’épicentre de la crise, puis les pays sans bulle mais à croissance molle (comme l’Italie, la France, l’Allemagne, le Japon…) ont été touchés tour à tour ainsi que les pays émergents fragiles (Afrique du Sud, Vietnam..).
Chine et Russie : des entreprises vulnérables au ralentissement en cours
Alors que toutes les notations des pays industrialisés ont été revues à la baisse en 2008, Coface annonce la mise sous surveillance négative de deux des BRICs, qui avaient jusqu’à présent résisté. « La crise de crédit touche maintenant deux grands pays émergents, la Russie et la Chine, qui jouissaient pourtant ces dernières années d’une confortable situation macroéconomique et financière » explique François David, Président de Coface. « Mais les entreprises de ces deux pays affichaient de fortes vulnérabilités, déjà repérées par Coface, brutalement accentuées par le ralentissement actuel ».
Coface prévoit une croissance en Chine de 7% en 2009. L’étude de Coface sur le comportement de paiement des entreprises chinoises menée depuis 6 ans a permis de mettre en lumière les effets de la trop forte concurrence sur la contraction des marges dans le secteur privé. Dans ce contexte de vulnérabilité microéconomique, le ralentissement de croissance conduira à un accroissement des défauts de paiement des entreprises chinoises. La note A3 de la Chine vient donc d’être placée sous surveillance négative. Pour leur part, Hong Kong et Taiwan sont déclassés en A2.
La prévision de croissance 2009 de Coface pour la Russie est de 2,5%. L’expérience de paiement interentreprise de Coface en Russie s’est dégradée en 2008, et ce principalement en raison des lacunes persistantes dans la gouvernance des entreprises, problèmes déjà pris en compte dans la note B de la Russie. A présent, le pays est sévèrement touché par la crise (chute du crédit, baisse des prix du pétrole). La dette en devises des entreprises russes a augmenté de 140% depuis 2005, ce qui devrait conduire à de nouveaux impayés. Dès lors, la note de la Russie est placée sous surveillance négative.
Carac annonce les rendements 2008 de ses contrats d’assurance vie en euros
La Carac, mutuelle d’épargne et de retraite, enregistre en 2008 des taux de rendement net (hors prélèvements sociaux) parmi les meilleurs du marché pour trois de ses garanties d’assurance-vie en euros :
– Le Compte Épargne Carac : 4,50%
– Entraid’épargne Carac : 4,60%
– Le Compte Épargne Famille : 4,50%
Une performance durable
Ces taux de rendement net 2008 confirment la performance sur la durée des garanties proposées par la Carac à ses adhérents – sur 10 ans le taux de rendement moyen annuel est de 5,15% pour le Compte Epargne Carac. Avec des frais de versement de l’ordre de 2,44% maximum et des frais sur épargne gérée de 0,50%, la Carac se positionne comme l’un des acteurs les mieux placés sur le marché permettant ainsi à tous ses adhérents de profiter pleinement de la rentabilité de leurs placements.
La Carac affirme son engagement vers l’épargne solidaire
La Carac a choisi de valoriser et de promouvoir encore davantage l’épargne solidaire et d’attribuer ainsi un taux de rendement net de 4,60% à sa garantie solidaire Entraid’épargne Carac.
Dans ce contexte de crise financière, ces performances montrent le sérieux de la stratégie financière responsable et sécuritaire menée par la Carac pour protéger l’intérêt de ses adhérents. « Les taux de rendement net obtenus en 2008 confirme la capacité de la Carac à gérer au mieux ses actifs en proposant à ses adhérents des produits performants et sûrs. Les bons résultats de l’exercice qui vient de s’écouler bénéficient à l’ensemble des adhérents, et c’est là l’essentiel » souligne Monsieur Jacques Goujat – Président de la Carac.
A noter également, qu’à compter du 1er janvier 2009, le montant du plafond majorable de la Retraite Mutualiste du Combattant est fixé à 1694 euros, soit 125 points à 13,55 euros.
La nouvelle carte vitale
Dans les quatre ans à venir, 59 millions d’assurés sociaux vont recevoir progressivement leur nouvelle carte Vitale.
Pour le moment, seuls sont concernés : les jeunes à partir de 16 ans, les nouveaux assurés en France, ainsi que ceux dont la carte Vitale a été déclarée perdue, volée ou détériorée.
Si vous possèdez déjà une carte Vitale, vous n’avez aucune démarche à faire pour recevoir la nouvelle. C’est l’Assurance Maladie qui vous contactera, par courrier.
Aprionis annonce les rendements 2008 de ses contrats d’assurance vie en euros
Le nouveau groupe APRIONIS, né le 09 janvier 2009 de la fusion des entités spécialistes de la protection sociale APRI et IONIS, annonce les taux de rendement 2008 des fonds euro mis à disposition des adhérents sur les contrats d’assurance vie de sa gamme.
Fidèle à la tendance qui semble se dessiner sur le marché – notamment depuis les rumeurs de diminution de rémunération du livret A, devenues depuis réalité – APRIONIS offre une rémunération 2008 en léger retrait par rapport à 2007.
Ainsi, un taux unique de 4.40% nets pour 2008, en retrait de 0.05% par rapport à 2007, est alloué aux fonds euro des principaux contrats du groupe, tels que Carina, Carina Perspectives et Carina Intergénération.
Avenue des assurés lance un comparateur Assurance vie sur son site : www.avenue-des-assures.com
Retrouvez dès le lundi 26 janvier 2009 sur Avenue des Assurés le comparateur Assurance Vie indépendant.
Un comparateur Assurance Vie quantitatif
Avec plus de 170 contrats référencés, le comparateur Assurance Vie 100% objectif et indépendant n’est pas un comparateur comme les autres.
En effet, trop de comparateurs en ligne se contentent aujourd’hui encore de ne référencer que quelques contrats parmi les plus de 170 distribués, ce qui ne peut pas constituer à notre sens une information totalement objective.
Un comparateur Assurance Vie qualitatif
Une fois saisis vos objectifs de placement et déterminé votre profil d’investisseur, le comparateur Assurance Vie vous permet de disposer d’une “short-list” des contrats du marché les plus adaptés à vos besoins.
Le comparateur vous donne également accès à la fiche technique de chacun des contrats référencés, que ceux-ci fassent partie de votre short-list ou non.
Le comparateur Assurance Vie s’appuie sur une base de données mise à jour en continu et utilisée comme outil de veille par les professionnels de la finance et de l’Assurance Vie.
Une équipe de 12 personnes travaille quotidiennement à la mise à jour de cette base.
Une alliance bénéfique
Maxilead, concepteur du comparateur, et Avenue des Assurés partagent les mêmes valeurs : mettre à disposition du grand public des informations de grande qualité, en libre accès, pour l’aider à choisir et gérer un produit d’épargne.
Retrouvez le comparateur Assurance Vie 100% indépendant et objectif dès le lundi 26 janvier janvier 2009 sur Avenue des Assurés.
Coface renforce son offre de couverture des risques à l’exportation au Moyen-Orient, en Afrique et en Asie
Coface annonce la signature d’un accord de coopération avec la Société Islamique d’Assurance des Investissements et des Crédits à l’Exportation (ICIEC) et renforce ainsi son offre de couverture des risques à l’exportation en l’étendant à l’ensemble des 35 pays membres d’ICIEC.
L’ICIEC est une société multilatérale d’assurance des investissements et des crédits à l’exportation fondée en 1994 et basée à Djeddah (Arabie Saoudite). Elle est détenue par trente-quatre gouvernements du Moyen-Orient, d’Afrique et d’Asie et par la Banque Islamique de Développement.
L’ICIEC est membre de CreditAlliance, réseau international de partenaires en assurance-crédit et services de credit management créé en 1992 par Coface.
L’ICIEC délivre des garanties d’assurance crédit à l’exportation conformes à la Shariah dans ses 35 pays membres et couvre tant les risques commerciaux que politiques. L’accord signé par Coface prévoit l’utilisation de Globalliance, la police d’assurance crédit internationale de Coface.
Cet accord va permettre à Coface de mettre progressivement en place pour ses clients une solution d’assurance crédit à l’exportation dans les pays membres de l’ICIEC où elle n’est pas encore implantée.
Coface est déjà présente directement dans 8 de ces 35 pays et indirectement dans 15 d’entre eux par l’intermédiaire de ses partenaires membres de CreditAlliance. Bahreïn est le premier pays où l’accord passé avec l’ICIEC a été concrétisé par l’émission d’une police.
Présentation de la carte européenne d’assurance maladie
La carte européenne d’assurance maladie atteste de vos droits à l’assurance maladie et vous permettra, lors d’un séjour temporaire en Europe, de bénéficier de la prise en charge des soins médicalement nécessaires, quel que soit le motif de votre déplacement (week-end, vacances, études, stages, détachement professionnel) et sous réserve de respecter les formalités en vigueur dans le pays de séjour.
C’est une carte individuelle et nominative. Chaque personne de la famille doit avoir sa propre carte, y compris les enfants de moins de 16 ans. Elle est gratuite et valable un an. La carte européenne d’assurance maladie ne remplace pas la carte Vitale : vous ne pouvez pas l’utiliser en France ; ce n’est pas non plus un moyen de paiement. Elle n’est pas délivrée de façon automatique : pour l’obtenir, adressez-vous à votre section MGEN au moins 2 semaines avant votre départ, compte tenu du délai de réalisation de la carte et de son acheminement par la Poste.
La carte européenne d’assurance maladie peut être utilisée :
– dans l’ensemble des 27 Etats membres de l’Union européenne : Allemagne, Autriche, Belgique, Bulagrie, Chypre, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République tchèque, Royaume-Uni, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Suède ;
– ainsi qu’en Islande, au Liechtenstein, en Norvège et en Suisse.
Elle n’est pas valable pour la Turquie, la Russie et les pays d’Afrique du Nord.
Le fonctionnement de la carte vitale
Votre carte Vitale ne donne aucun renseignement médical sur votre santé. Cependant, elle contient toutes les informations administratives nécessaires à votre remboursement et indique votre caisse d’Assurance Maladie.
Conservez précieusement et sans limitation de durée la carte Vitale que vous envoie votre caisse d’Assurance Maladie. Elle vous permet de faire valoir vos droits.
Que contient votre carte Vitale ?
La carte Vitale est une carte à micro-processeur ou dite « à puce » de la taille d’une carte bancaire. Elle ne contient pas d’informations d’ordre médical mais tous les éléments administratifs nécessaires à la prise en charge de vos soins afin de déclencher vos remboursements :
– votre identité et celle de vos ayants droits de moins de 16 ans ;
– votre numéro d’immatriculation ;
– le régime d’Assurance Maladie auquel vous êtes affilié ;
– la caisse d’Assurance Maladie à laquelle vous êtes rattaché ;
– vos éventuels droits à la couverture maladie universelle complémentaire ;
– vos éventuels droits à l’exonération du ticket modérateur si vous en bénéficiez au titre d’une affection de longue durée (A.L.D.), d’une maternité, d’un accident du travail, etc.
Elle ne donne aucune indication sur vos remboursements. En revanche, la présenter aux professionnels de santé permet des remboursements plus rapides.
Grâce à la carte vitale, vous n’envoyez plus de feuilles de soins papier avec des vignettes collées. Tout est télétransmis par le professionnel de santé, par réseau informatique, à votre section MGEN ou votre caisse d’Assurance Maladie. Cela permet de simplifier les démarches administratives et de garantir des remboursements en 5 jours.
L’attestation papier
Elle est envoyée en même temps que la carte Vitale car elle est le reflet des informations inscrites sur la puce électronique de la carte. Permettant d’attester des droits de l’assuré en cas de perte ou de vol de sa carte Vitale, ou chez les professionnels de santé qui ne sont pas équipés pour lire les cartes Vitale.
La fondation AGF – Institut de France remet le Prix de Recherche 2008 au Professeur Jean-Laurent Casanova
Le Professeur Jean-Laurent Casanova est Professeur des Universités-Praticien Hospitalier de Pédiatrie, co-directeur du laboratoire de Génétique Humaine des Maladies Infectieuses (INSERM U550).
Les travaux de Jean-Laurent Casanova sont à l’union de l’infectiologie, de la génétique et de l’immunologie. Il a en effet contribué de façon primordiale à la compréhension des bases génétiques de la prédisposition aux maladies virales et bactériennes de l’enfant. Au travers de ses travaux, Jean-Laurent CASANOVA a apporté une innovation scientifique remarquable en montrant qu’une infection donnée pouvait être favorisée par une mutation et une seule. Son travail a d’importantes implications pour le diagnostic et le traitement des maladies infectieuses.
La fondation AGF – Institut de France soutient depuis plus de 20 ans la recherche fondamentale
Créée en 1983 sous l’égide de l’Institut de France, la fondation AGF – Institut de France a pour vocation d’encourager la recherche fondamentale en France. Le Prix de Recherche récompense chaque année, depuis 24 ans, le responsable d’une équipe médicale ou biomédicale dont l’œuvre scientifique peut conduire à des applications cliniques, préventives ou curatives.
Les candidatures sont examinées par une commission scientifique composée de personnalités (cliniciens et chercheurs) représentatives de la communauté médicale et biomédicale. L’Académie des Sciences assure la dernière étape de la sélection. Le Prix est remis par le Chancelier de l’Institut et par le Président d’AGF.
Doté d’une enveloppe de 75 000 euros, il compte parmi les prix les plus importants décernés par une fondation sous l’égide de l’Institut de France.
La fondation AGF – Institut de France a soutenu et encouragé les travaux de chercheurs dans des domaines cruciaux de la recherche fondamentale : la résistance des bactéries aux antibiotiques (Pr. Courvalin – 2005), les mécanismes de régulation de l’expression des gènes (Pr Egly – 2002), l’identification d’un nouveau mécanisme de communication intercellulaire (Dr Prochiantz– 2001), le génome humain et ses applications cliniques (Pr Thomas – 1998), les techniques de transgénèse (Drs Mathis et Benoist – 1997), la carte génétique (Dr Weissenbach – 1996) ou encore les maladies dégénératives (Pr Agid – 1995) et les myopathies (Pr. Fardeau – 1985).
AGF, entreprise citoyenne et mécène de la prévention santé
Le Prix de Recherche illustre la volonté d’AGF d’encourager la recherche d’aujourd’hui pour préserver la santé de demain et confirme sa vocation d’entreprise citoyenne qui se manifeste par d’autres actions de soutien dans le domaine de la prévention santé ou du bien-être des malades.
Les Associations de Prévoyance Santé (ADPS)
AGF et les Associations De Prévoyance Santé (ADPS) travaillent en partenariat depuis plus de 40 ans. Les ADPS regroupent près de 1 million de bénéficiaires de contrats d’assurance santé individuelle. Les ADPS ont pour mission de développer l’information et la prévention en matière de santé, d’accompagner de nombreux projets en région visant à faciliter l’accès à des traitements médicaux spécifiques et à soutenir des personnes malades, handicapées ou dépendantes. Les ADPS remettent chaque année le Grand Prix ADPS de l’Action Sociale. Les candidats sont sélectionnés par un Comité Scientifique composé de personnalités du monde médical (Pr. Cabrol, Pr. Escande, Pr. Rouëssé …) qui attribue le Grand Prix de l’Action Sociale d’une valeur totale de 100 000 euros. Ce Prix récompense 4 projets en leur attribuant respectivement 25 000 euros.
Depuis 2008, AGF soutient la recherche sur la maladie d’Alzheimer : la Fondation IFRAD
AGF apporte son soutien aux actions de la Fondation IFRAD qui visent à soutenir et coordonner la recherche sur la maladie d’Alzheimer et les maladies apparentées. La Fondation IFRAD souhaite notamment constituer une Banque Tissulaire Nationale comprenant une Banque de Cerveaux destinée aux chercheurs du monde entier.
Recommandation relative aux placements des organismes d’assurance en période de crise financière
Dans le contexte actuel de la crise financière et des évolutions récentes enregistrées par les règles comptables internationales et américaines (en particulier l’amendement publié le 13 octobre 2008 modifiant la norme IAS39 et la norme IFRS7 sur les modalités de reclassement des actifs financiers), les collèges du Conseil national de la comptabilité (CNC) et de l’Autorité de contrôle des assurances et des mutuelles (ACAM) ont souhaité que des réflexions soient menées afin d’identifier si ces évolutions nécessitaient que la réglementation comptable française soit précisée.
Au terme des réflexions qui ont été conduites et qui intéressent les organismes régies par le Code des assurances, le Code de la sécurité sociale et le Code de la mutualité, le Conseil national de la comptabilité et l’Autorité de contrôle des assurances et des mutuelles ont adopté la présente recommandation conjointe qui rappelle les dispositions actuellement en vigueur selon les règles comptables françaises et qui apporte les clarifications suivantes pour l’arrêté
des comptes de ces organismes d’assurance au 31 décembre 2008 sur :
– Les modalités de dépréciation des placements des organismes d’assurance dans les comptes individuels et dans les comptes consolidés ou combinés de ces entités établis selon les règles françaises.
– Les informations à communiquer en annexe sur les valeurs de réalisation dans les comptes individuels et dans les comptes consolidés ou combinés de ces organismes établis selon les règles françaises.
1- Modalités de dépréciation des placements des organismes d’assurance dans les comptes individuels et dans les comptes consolidés ou combinés de ces entités établis selon les règles françaises
1.1 Placements relevant de l’article R332-192 du Code des assurances :
Le Code des assurances dispose que les valeurs amortissables réglementées relevant de l’article R.332-19 “ne font pas l’objet d’une provision” mais qu’elles doivent néanmoins être dépréciées à l’inventaire ” lorsqu’il y a lieu de considérer que le débiteur ne sera pas en mesure de respecter ses engagements, soit pour le paiement des intérêts, soit pour le remboursement du principal.”
Le CNC et l’ACAM rappellent que l’avis N° 2006-07 du CNC du 30 juin 2006 relatif aux dépréciations des titres relevant de l’article R.332-19 du Code des assurances précise :
– des critères généraux, observables, pouvant servir de base aux analyses multicritères permettant de déterminer s’il existe un risque avéré de contrepartie,
– les modalités d’évaluation de la dépréciation telle que définie par le Code des assurances.
Un risque de contrepartie est considéré comme avéré “dès lors qu’il est probable que l’organisme d’assurance ne percevra pas tout ou partie des sommes qui lui sont dues au titre des engagements souscrits par la contrepartie ” (Deuxième alinéa de l’avis N° 2006-07).
Le CNC et l’ACAM précisent que la notion de risque de contrepartie avéré ne doit pas être confondue avec une simple possibilité de défaillance de la contrepartie sur les engagements qu’elle a souscrits qui ne fait que caractériser une perte potentielle et non probable. Ce principe, est du reste, en cohérence avec les articles 2 et 3 du règlement CRC 2002-03 modifié par les règlements n° 2005-03 et n° 2007-06 qui précisent la notion de risque de crédit avéré pour les établissements de crédit.
Par ailleurs, le CNC et l’ACAM soulignent qu’en ce qui concerne la mise en œuvre de cette démarche d’identification de risque avéré de contrepartie, les documentations réalisées par les organismes afin de justifier les analyses menées devraient refléter les éléments connus de manière contemporaine à l’arrêté des comptes et étayant les décisions et conclusions prises en matière de dépréciation.
1.2 Placements relevant de l’article R332-203 du Code des assurances :
Le Code des assurances dispose que pour les titres relevant de l’article R.332-20, les dépréciations estimées à l’inventaire ” ne peuvent être constatées que lorsqu’il y a lieu de considérer qu’elles ont un caractère durable”.
L’avis N° 2002-F du Comité d’urgence du 18 décembre 2002 relatif aux provisions pour dépréciation à caractère durable des organismes d’assurance précise :
– l’approche multicritères permettant de qualifier les présomptions de dépréciation durable,
– les modalités d’évaluation de la dépréciation à caractère durable,
– les exigences en termes de documentation des critères retenus.
Dans le contexte actuel des marchés, le CNC et l’ACAM apportent les précisions suivantes :
– Les considérants de l’avis N° 2002-F, précisent que dans le cadre de l’analyse multicritère menée, le critère de présomption de dépréciation à caractère durable relatif au “niveau de moins value latente significative peut être défini pour les actions françaises, en fonction de la volatilité constatée, soit 20 % de la valeur comptable lorsque les marchés sont peu volatils, ce critère étant porté à 30 % lorsque les marchés sont volatils”.
Le CNC et l’ACAM considèrent que la situation actuelle de forte volatilité des marchés permet, pour les comptes clos au 31 décembre 2008, de porter le critère de présomption de dépréciation à caractère durable à 30 % de moins value latente des placements en actions françaises et, sauf cas particuliers, également européennes. Il rappelle que, conformément à l’avis précité, pour les autres titres, ce critère devra être adapté aux caractéristiques des placements concernés.
Il est rappelé que, au-delà de cette présomption, la connaissance d’informations spécifiques caractérisant la possibilité d’une dépréciation durable de certaines lignes peut également conduire à procéder à la détermination d’un horizon de détention et d’une valeur recouvrable, quand bien même ces lignes n’atteignent pas les seuils précités.
– En cas de cession de placement à une date antérieure à l’horizon de détention initialement envisagé dégageant une moins value nette de provision significative la documentation mentionnée dans l’avis précité est jugé “satisfaisante” si elle permet d’apprécier et d’analyser dans quelle mesure les évolutions des facteurs endogènes ou exogènes conduisent à remettre en cause les hypothèses et intentions retenues dans la documentation initiale de l’horizon de détention envisagé par l’entreprise.
La qualité de la documentation initiale permettra donc, en rendant possible la rationalisation du changement d’intention et l’identification plus précise des
hypothèses que ce changement remet en cause, de mieux cerner l’ampleur des conséquences à tirer, conformément à l’avis précité, d’un tel changement.
En particulier, la prise en compte dans la détermination de l’horizon de détention et de la valeur recouvrable, d’une rotation envisagée du portefeuille auquel la valeur étudiée appartient, doit conduire à apprécier les conséquences de la cession d’une ligne en deçà de son horizon de détention prévue par rapport à la remise en cause que cette cession matérialise dans la rotation envisagée.
– Il est également rappelé que l’impossibilité de documenter la recouvrabilité ou l’incapacité de prendre un engagement d’horizon de détention – ou la volonté de ne pas prendre un tel engagement – doivent en principe conduire à tirer des conséquences immédiates de l’existence de moins-values latentes.
2- Informations à communiquer en annexe sur les valeurs de réalisation des placements des organismes d’assurance dans les comptes individuels et dans les comptes consolidés ou combinés de ces entités établis selon les règles françaises
Le Code des assurances dispose dans son annexe de l’article A 344-34 que l’annexe des états financiers “est constituée de toutes les informations d’importance significative permettant d’avoir une juste appréciation du patrimoine et de la situation financière de l’entreprise, des risques qu’elle assume et de ses résultats”. A ce titre, les organismes d’assurance doivent notamment mentionner dans l’annexe des états financiers :
– ” les modes et méthodes d’évaluation appliquées aux différents postes du bilan, du compte de résultat et de l’annexe …”,
– un état récapitulatif des placements mentionnant notamment la valeur de réalisation de ces placements dont les modalités de calcul sont précisément définies et fixées par l’article R332-20-15 en fonction de la nature des placements :
– “a) les valeurs mobilières cotées et les titres cotés de toute nature sont retenus pour le dernier cours coté au jour de l’inventaire,
– b) les titres non cotés sont retenus pour leur valeur vénale correspondant au prix qui en serait obtenu dans les conditions normales de marché et en fonction de leur utilité pour l’entreprise,
– c) les actions de sociétés d’investissement à capital variable et les parts de fonds communs de placement sont retenues pour le dernier prix de rachat publié au jour de l’inventaire …”
Dans le contexte actuel des marchés, le CNC et l’ACAM soulignent qu’il est nécessaire qu’une information au moins qualitative soit donnée dans l’annexe des états financiers :
– sur la définition des valeurs de réalisation utilisées conformément aux méthodes fixées
par le Code des assurances,
– sur les hypothèses retenues,
– et sur les incertitudes éventuelles qui peuvent résulter du fait que les valeurs de réalisations mentionnées, conformément aux dispositions prévues par le Code des assurances, sur la base des dernières cotations ou sur la base des derniers prix de rachat publiés peuvent s’écarter sensiblement des prix auxquels seraient effectivement réalisées les transactions si ces actifs en portefeuille devaient être cédés.
1 Dans la présente recommandation, les organismes d’assurance désignent les organismes relevant du Code des assurances, du Code de la mutualité, et du Code de la sécurité sociale. Les références aux textes sont celles du Code des assurances, qu’il convient de transposer par analogie aux Codes de la mutualité et de la sécurité sociale.
2 R931-10-40 du Code de la sécurité sociale, R212-52 du Code de la mutualité
3 R931-10-41 du Code de la sécurité sociale, R212-53 du Code de la mutualité
4 A 931-11-11 du Code de la sécurité sociale, Art 4.5 du Règlement CRC n° 2002-06 pour les mutuelles relevant du Code de la mutualité
5 R 931-10-42 du Code de la sécurité sociale, R212-54 du Code de la mutualité
Présentation du métier d’agent général d’assurance
L’agent général d’assurance est une personne physique ou morale, intermédiaire d’assurance, qui représente (en vertu d’un traité de nomination) une ou plusieurs entreprises d’assurance.
L’agent général est un mandataire qui exerce une profession indépendante, régie par les statuts de 1949 et 1950 ou par le décret du 15 octobre 1996 et la convention AGEA/FFSA du 16 avril 1996 ainsi que par les accords contractuels signés par chaque syndicat professionnel avec l’entreprise d’assurance mandante.
C’est un chef d’entreprise, intermédiaire entre l’entreprise d’assurance qu’il représente et ses clients. Il satisfait les demandes de ses clients, particuliers, professionnels et entreprises, dans tous les domaines de l’assurance. Il leur propose les réponses personnalisées, gère leurs contrats et règle les sinistres. Près de 13 000 agents généraux sont répartis dans toute la France et emploient 30 000 collaborateurs ou salariés. Ils détiennent 35% des parts de marché en assurance dommages et 7% en assurance vie.
L’agent général d’assurance est un intermédiaire indépendant qui organise librement son entreprise. Il représente une compagnie d’assurances en qualité de mandataire et, à ce titre, engage cette dernière dans ses relations avec les clients (Code des assurances – art. L.511-1).
Swiss Life apporte une réponse aux entreprises qui souhaitent optimiser la retraite de leurs salariés avec SwissLife Retraite Entreprises
Swiss Life, spécialiste de longue date de l’assurance retraite, enrichit régulièrement la gamme de ses produits et lance aujourd’hui à destination des entreprises SwissLife Retraite Entreprises, un contrat collectif de retraite en euros et en unités de comptes relevant de l’Article 83 du Code Général des Impôts.
Ce nouveau contrat se caractérise notamment par la flexibilité de sa gestion et la sécurité qu’offrent un taux de rente garanti dès l’adhésion, une garantie plancher en cas de décès incluse automatiquement et, en option, une garantie de bonne fin.
– Un taux de rente garanti dès l’adhésion pour les cotisations versées jusqu’au 31 décembre 2025 :
Tous les versements effectués jusqu’au 31 décembre 2025 sur le contrat SwissLife Retraite Entreprises sont assortis d’une garantie du taux de conversion de la rente qui sera versée à vie lors de la liquidation de la retraite (tables par génération TGF 05 ou TGH 05 au taux technique de 2%).
Pour les cotisations versées à compter du 1er janvier 2026, la table de conversion en rente à vie sera fonction des tables en vigueur à la date de chaque versement.
– Un large choix de supports sur lesquels répartir l’épargne
– 4 fonds « profilés » : Prudent, Equilibre, Dynamique ou Evolutif.
Ils permettent de choisir une orientation financière précise selon la sensibilité au risque du salarié adhérent.
– 32 unités de compte.
Un large choix de supports qui, grâce à la multigestion, met au service de l’adhérent une pluralité d’expertises financières et saura répondre à ses attentes d’investissement plus dynamique ou plus orienté. Parmi ces unités de compte, quatre font partie de la famille des fonds ISR et témoignent de l’engagement de Swiss Life dans le domaine du développement durable.
– Un fonds en euros.
Totalement sécurisé, ses intérêts sont définitivement acquis chaque année.
– Deux modes de gestion sont proposés :
– La gestion automatique.
Son principe est de sécuriser progressivement l’épargne acquise vers le fonds euros au fur et à mesure que l’adhérent se rapproche de l’âge de la retraite.
– La gestion libre.
Elle aura la faveur des adhérents qui connaissent et suivent régulièrement les évolutions des marchés financiers et souhaitent piloter eux-mêmes leur épargne retraite.
Elle autorise par ailleurs la combinaison des options « arbitrage automatique des plus values », « arbitrage automatique en cas de moins values », ainsi que « l’arbitrage progressif » qui permet de transférer automatiquement des montants fixés à l’avance par l’adhérent du fonds euros vers des supports en unités de compte dès qu’un certain seuil de droits acquis est atteint.
– Cinq options de rente proposées au terme du contrat
L’adhérent choisit au terme de son adhésion la forme de retraite la mieux adaptée à ses besoins, en fonction de sa situation familiale.
– Rente à vie non réversible, cessant dès le décès de l’adhérent retraité
– Rente à vie non réversible avec annuités garanties
– Rente à vie réversible à 60 % au profit du bénéficiaire désigné
– Rente à vie réversible à 100 % au profit du bénéficiaire désigné
– Rente à vie réversible à 100 % au profit du bénéficiaire désigné avec annuités
garanties.
– Une garantie « plancher-décès » incluse automatiquement, sans formalités médicales, pour sécuriser les montants transmis aux proches en cas de décès :
En cas de moins value constatée au décès de l’adhérent, il est mis à la disposition des bénéficiaires un capital constitutif de rente, égal au montant de la moins value constatée dans la limite de 75 000 euros.
– Deux garanties optionnelles :
– La garantie de bonne fin.
Accessible sans déclaration de santé à partir de 6 salariés, cette option permet en cas de décès de l’adhérent la mise à disposition d’un capital constitutif de rente supplémentaire, égal au cumul des versements périodiques restant à régler depuis la date du décès jusqu’au terme du contrat.
Ce capital constitutif de rente supplémentaire se cumule avec celui de la garantie plancher-décès, dans la limite globale de 150 000 euros.
– La garantie en cas d’arrêt de travail.
L’arrêt de travail résultant d’une maladie ou d’un accident donne lieu, au terme d’une franchise de 90 jours, à l’exonération des cotisations dues au titre du salarié concerné.
– Un suivi facilité pour le salarié :
Le salarié adhérent peut en permanence consulter son compte retraite sur internet et pourra bientôt demander des arbitrages en ligne.
Les dispositions générales sont disponibles sur demande.
Fiche d’identité de l’AGEA : Fédération Nationale des Syndicats d’agents généraux d’assurances
AGEA est la Fédération Nationale des Syndicats d’agents généraux d’assurances. Elle est présidée depuis juin 2006 par Philippe de Robert. Gérard Lebègue, Jean-Max Lefebvre, Jean Mesmin et Hervé de Veyrac, les Présidents adjoints, l’épaulent dans ses fonctions.
AGEA a trois missions principales :
Une mission politique :
– défendre les intérêts de la profession,
– affirmer les fondamentaux du métier,
– favoriser la compétitivité des agences sur les marchés,
– conduire les négociations professionnelles collectives,
– mener une réflexion prospective sur le métier et ses évolutions stratégiques.
Une mission de communication et de lobbying :
– faire connaître la profession, son rôle économique, au niveau national et européen,
– valoriser le rôle des agents généraux vis-à-vis de leurs clients,
– intervenir auprès des parlementaires et des ministères, les informer sur les préoccupations et les préconisations de la profession.
Une mission de conseil :
– conseiller ses structures membres (Syndicats de société et Chambres professionnelles régionales et départementales) et ses adhérents en matière juridique, sociale et fiscale,
– proposer des offres de formation pour les agents généraux et leurs collaborateurs,
– informer les candidats à la profession sur le métier et ses conditions d’exercice.
Aviva lance une nouvelle offre d’assurance vie : Aviva Lisséo Duo Janvier 2010
Après la forte baisse subie par les marchés financiers au cours de l’année 2008, les niveaux actuels peuvent, lorsque l’épargnant dispose d’un horizon de placement à long terme, constituer un point d’entrée intéressant. Il reste cependant difficile de déterminer le meilleur moment pour investir lorsque les marchés connaissent une volatilité excessive.
Dans le cadre de sa démarche de Bon Conseil et pour aider l’épargnant à investir sur les marchés financiers tout en conservant une poche de liquidités, Aviva propose Aviva Lisséo Duo Janvier 2010, une opération qui permet d’investir progressivement sur les marchés financiers grâce à des arbitrages mensuels gratuits, tout en conservant une part de son investissement sur un fonds sécuritaire.
L’épargnant place 70% maximum de son capital sur le support garanti de l’offre ; dés le mois suivant, un arbitrage automatique gratuit investit tous les mois une partie de cette épargne sur les unités de compte éligibles de la gamme d’OPCVM d’Aviva Investors France. Les 30 % maximum restants pourront être investis sur un fonds 100% garanti jusqu’au 08/01/2010, afin de couvrir un éventuel besoin de liquidités.
Cette nouvelle modalité permet d’apporter une réponse concrète aux clients qui souhaitent :
– entrer progressivement sur les marchés financiers tout au long de l’année 2009
– mais aussi investir une partie de leur versement sur un support garanti, avec un taux compétitif
Aviva Lisséo Duo Janvier 2010 se décline en trois offres proposées du 24 décembre 2008 au 27 mars 2009, avec 3 niveaux de taux garantis très attractifs :
– Aviva Lisséo Duo Janvier 2010 : 4,80% (1) annuel net à partir de 12 000 euros de versement(2),
– Aviva Lisséo Duo Premium Janvier 2010 : 5,20%(1) annuel net à partir de 30 000 euros de versement (12 000 euros si versements programmés sur le contrat(2))
– Aviva Lisséo Duo Super Premium Janvier 2010 : 5,60%(1) annuel net à partir de 80 000 euros de versement (30 000 euros si versements programmés sur le contrat) (2)
Fidèle à sa démarche de Bon Conseil, Aviva démontre avec Aviva Lisséo Duo Janvier 2010 sa volonté de mettre l’accompagnement de l’épargnant au cœur de sa stratégie. Face à une crise financière qui dure et à une crise économique qui s’installe, Aviva apporte des solutions adaptées aux besoins et objectifs des épargnants.
(1) Hors prélèvements sociaux et fiscaux. Taux annuel net appliqué aux sommes nettes investies sur le support de l’offre au prorata de la durée d’investissement et au plus tard jusqu’au 8 janvier 2010.
(2) 15 000 euros pour Sélection International et Sélection International Capitalisation
Zurich crée deux nouvelles polices d’assurance pour soutenir les technologies d’atténuation des gaz à effet de serre
Zurich, un fournisseur de premier plan mondial d’assurances multirisques, a annoncé aujourd’hui la disponibilité de ses offres d’assurance responsabilité capture et piégeage du carbone (Carbon Capture and Sequestration, CCS) et d’assurance financière piégeage géologique (Geologic Sequestration Financial Assurance, GSFA). Ces produits spécialisés sont destinés à répondre aux besoins spécifiques des projets de CCS de la conception aux phases opérationnelles jusqu’à la fermeture et la post-fermeture des sites de stockage géologique.
Compte tenu des défis perçus auxquels doivent faire face la consommation continue de combustibles fossiles et la protection durable du climat, on pense que le déploiement efficace des systèmes de CCS deviendra un élément crucial pour répondre à la réduction des émissions mondiales de carbone à long terme. Zurich, associé à des clients, experts universitaires et fonctionnaires, a acquis sur ce plan une grande expertise en matière de risques liés à ces technologies, et identifié le rôle qu’un mécanisme d’assurance peut jouer pour faciliter l’usage futur des CCS.
Lindene Patton, responsable Produits climatiques de Zurich, a déclaré : « Nous sommes fiers d’ajouter ces nouveaux produits pour permettre l’utilisation de cette nouvelle technologie d’atténuation du risque climatique. Leur création illustre ce que Zurich a de mieux à proposer (la capacité à fournir des solutions de gestion des risques innovantes en réponse aux défis liés au climat les plus ardus auxquels nos clients sont confrontés. Une telle approche globale n’est possible que grâce à une étroite collaboration) associant notre expertise interne aux experts de politique publique, de l’industrie et aux universitaires, afin de créer une somme qui soit plus grande que ses parties. »
Lindene Patton a ajouté : « Avec l’offre de ces produits, nous avons supprimé une barrière importante à un large déploiement de cette technologie essentielle pour l’atténuation à long terme des émissions de carbone. »
Avec la venue de ces deux nouvelles couvertures dans le portefeuille existant de produits d’assurance liés au climat, Zurich peut à présent faciliter le déploiement et l’assurance d’une solution innovante pour un charbon plus propre, de la conception à la fermeture, par les couvertures suivantes :
Police d’assurance responsabilité CCS
– responsabilité en cas de pollution,
– interruption d’activité,
– contrôle de fosse,
– responsabilité de transmission et
– responsabilité géomécanique.
Police GSFA
– activités spécifiées de fermeture et post-fermeture.
Ces produits peuvent concerner non seulement les exploitations charbonnières plus propres, mais aussi une palette étendue de processus industriels, sur terre et en mer. Les couvertures ne sont pas toutes disponibles dans toutes les juridictions.
Thierry Colliot est nommé Directeur Général de SpaceCo, leader dans l’assurances de satellites
Il a succédé à Pierre-Eric Lys le 01/12/2008. Depuis 2004, SpaceCo, filiale des AGF, est le leader mondial dans le domaine des assurances de satellites. Experte dans les différentes activités de ce domaine (pré-lancement, lancement, exploitation…), ses clients sont parmi les leaders de leurs marchés respectifs : agences de lancement, industriels du secteur spatial, opérateurs de satellites.
Agé de 44 ans, il a rejoint l’équipe SpaceCo en janvier 2007 au titre de Directeur Général Délégué. Diplômé en droit et en sciences économiques, il a été auditeur (Deloitte & Touche), puis développeur commercial en banque (Entenial) avant d’intégrer le groupe AGF en 2001 au poste de Directeur Adjoint des Assurances Financières, en charge du développement de l’activité du transfert alternatif de risques (ART). Il est nommé administrateur de la société AGCS le 24 novembre 2008.
L’assurance dans la voie du développement durable avec l’adoption d’une charte
La Fédération Française des Sociétés d’Assurances et le Groupement des Entreprises Mutuelles d’Assurances ont élaboré et cosigné une « Charte développement durable des assureurs ».
Réunis au sein de l’Association Française de l’Assurance, la FFSA et le GEMA veulent, par cette démarche, montrer l’importance des enjeux de développement durable et mettre en avant la recherche « d’exemplarité » des entreprises d’assurances.
PREAMBULE
L’assurance, un vecteur de diffusion du développement durable au sein de la société.
Professionnels de la gestion des risques, acteurs de la préparation de l’avenir et du développement économique, les assureurs sont étroitement intégrés à tous les niveaux de l’organisation économique et sociale, notamment au niveau local et occupent ainsi une position privilégiée pour promouvoir les actions contribuant au développement durable, en raison :
– de leur utilité sociale et économique : donner la capacité à toutes les composantes de la société de se projeter dans l’avenir en organisant la protection des personnes, des actifs financiers, matériels et la continuité des activités économiques.
– de leur rôle : analyser le risque, le prévenir par des recommandations et l’inclusion de clauses de garantie (vol, incendie par exemple).
– de leur engagement à long terme : comprendre les mutations de notre société, les accompagner, investir à long terme pour couvrir les engagements contractés auprès des assurés.
Les enjeux spécifiques du développement durable dans le secteur de l’assurance :
Mettre à profit son expertise pour enrichir le débat public
Une des responsabilités principales de la Profession est de partager avec les décideurs politiques et la société civile sa compréhension approfondie des défis présents et à venir liés au changement climatique et sa capacité à trouver, du fait de son expérience de la mutualisation, des solutions pérennes économiquement tenables.
Amplifier la prise en compte des considérations environnementales, sociales et de gouvernance dans des produits et des services
Compte tenu de son rôle préventif, l’introduction de considérations environnementales, sociales et de gouvernance dans les produits et services d’assurance est un moyen pour la Profession de contribuer à l’émergence d’une société dont le modèle reposera davantage sur les principes du développement durable. Un ensemble d’enjeux a été identifié, sur la base de leur ampleur potentielle ou de leur urgence. Le changement climatique est une préoccupation première. Mais la Profession entend être présente également face aux pressions croissantes s’exerçant en matière de protection sociale.
– Contribuer à la lutte contre le changement climatique en favorisant la diffusion d’une culture anticipatrice et son corollaire : la capacité d’adaptation et d’atténuation.
– Participer à la réduction des vulnérabilités économiques et sociales via notamment le développement de la protection des risques de la vie, de la microassurance, ainsi que de la couverture des pertes d’exploitation, ou les actions tendant à repousser conventionnellement les limites de l’assurabilité des personnes souffrant de maladies chroniques.
– Participer à l’émergence et à la mise en œuvre de solutions aux défis de l’avenir liés à l’allongement de la vie humaine tels que les retraites mais aussi la protection vis-à-vis du risque de dépendance, la solidarité étant l’un des fondements de l’assurance.
Intégrer les défis présents et futurs dans la politique de gestion des actifs
Intermédiaire financier, la Profession de l’assurance fonde sa politique de gestion d’actifs sur l’impératif de sécurité à long terme. Confiante dans l’apport sur le long terme des analyses ISR, la Profession de l’assurance souhaite orienter dans la mesure du possible ses investissements dans des actifs responsables et/ou dans des domaines susceptibles de permettre à la société de relever les grands défis actuels. De même, la Profession entend favoriser la souscription des assurés dans ce domaine.
Agir au quotidien dans ses modes d’exploitation
Le secteur de l’assurance, bien que peu polluant, a pour devoir de réduire l’impact environnemental de son activité et de conforter son comportement responsable à l’égard de ses employés et de ses fournisseurs tout en agissant contre la corruption dans toutes ses formes.
Macifilia, filiale du groupe Macif, présente son équipe dirigeante
Filiale en charge des risques de diversification (réseaux et produits) dans le domaine de l’IARD, Macifilia a structuré ses activités d’assurance sur un périmètre connexe à celui du groupe Macif. Elle couvre notamment les risques des flottes d’entreprises, des transports, des PME/PMI et propose des produits de niche tels que la panne mécanique, la protection juridique, les loyers impayés ou encore l’annulation de séjours.
Elisabeth OBERLI – Directrice générale
Afin de mettre en œuvre la stratégie de développement qu’elle a définie pour Macifilia, Elisabeth OBERLI, directrice générale depuis juin 2007, a constitué une nouvelle équipe de Direction organisée autour de 4 pôles de compétences :
• Finances et risques
• Ressources humaines et communication
• Activités supports
• Opérations d’assurance.
Bruno THIRION – Directeur Finances et Risques
Bruno Thirion, – 45 ans – prend la tête de la Direction Finances et Risques au sein de Macifilia qui recouvre les activités de Contrôle de gestion, de Comptabilité, de Maîtrise des risques, de Contrôle interne et juridique. Il a pour objectif de mettre en place un dispositif de maîtrise des risques performant.
Après avoir occupé les fonctions de contrôleur de gestion chez GAN Assurances en 1997, il participe à la création et au développement d’Ecureuil Assurances IARD de 2003 à 2008. Directeur Financier de cette structure, il supervise à la fois le pilotage financier et l’activité de réassurance. Outre, sa fonction de Directeur Finances et Risques au sein de Macifilia, il est également Directeur Général de la filiale Thémis SA, Société d’assurance
spécialisée en Protection Juridique.
Jean-Claude CHASSAGNOUX – Directeur Ressources Humaines et Communication
Jean-Claude Chassagnoux – 57 ans – prend en charge la direction des Ressources Humaines et de la Communication. Dans le domaine des Ressources Humaines, il a pour objectif de détecter les potentiels et d’impulser le management de la performance et la valorisation des compétences. Il aura également pour mission de structurer la politique de communication de Macifilia, de promouvoir son identité, ses produits et ses valeurs.
Jean Claude Chassagnoux a occupé pendant 20 ans les fonctions de Directeur des Ressources Humaines au sein de plusieurs établissements bancaires, dont l’UIC SOFAL (filiale du Gan), et ENTENIAL (filiale des AGF). Il a exercé les fonctions de responsable de département chez RIGHT Management Consultants. En 2005, il rejoint le Groupe Caisse d’Epargne puis intègre la CEMM. Aujourd’hui, il est en charge de la direction des Ressources Humaines et de la Communication au sein de Macifilia.
Xavier CHANET – Directeur des Activités Supports
Xavier Chanet – 40 ans – est nommé Directeur des Activités Supports. Il prend en charge la direction des départements Gestion assurance, Organisation, Systèmes d’information et Moyens généraux. Il a pour mission de garantir une prestation de service après-vente optimale et de donner à Macifilia la capacité de s’adapter rapidement au marché et à son environnement.
Après 6 ans passés chez AXA Cessions à la tête du service Informatique et Organisation, Xavier Chanet est nommé Directeur Informatique Europe chez XL Ré, il passe 3 années à Londres. Outre la supervision d’activités sur la zone Europe, il participe à de nombreux chantiers au niveau international. En 2006, il prend la Direction des Systèmes d’Information au sein de la structure partenariale CEMM (GCE, MACIF, MAIF), puis, il rejoint Macifilia en qualité de Directeur des Activités Supports.
Emmanuel LEGRAS – Directeur des Opérations Assurances
Emmanuel Legras – 40 ans – est nommé Directeur des Opérations d’assurance. Outre, le développement commercial, il prend en charge les directions de l’offre et technique produits et du développement commercial, ainsi que le département marketing. Il a pour mission essentielle de porter l’innovation produits et l’esprit d’entreprise et de développer une qualité de service reconnue par les différents réseaux commerciaux de Macifilia.
Après avoir assuré le pilotage économique de différents centres de profit du Groupe AXA à l’international (Afrique, Amérique Latine), pris en charge la responsabilité des Marchés France et Turquie au sein d’AXA Cessions en 2000. Emmanuel Legras rejoint en 2003 la Direction internationale du groupe CNP Assurances (pilotage, fusions et acquisitions). Il y poursuit son parcours en intégrant, en 2005, la filiale italienne où il dirige tout d’abord les activités de clientèle privée, puis l’ensemble des activités de gestion.
Wilfried DISSOUBRAY – Directeur du Développement commercial
Wilfried Dissoubray – 42 ans – est nommé Directeur du développement commercial sous la responsabilité d’Emmanuel Legras. Il pilote 3 domaines d’activités : commercial, souscription et service clients qui réunissent 60 collaborateurs. Il a pour principale mission de gérer les relations de Macifilia avec l’ensemble de ses réseaux.
Responsable Courtage et développement chez Elvia Assistance de 1996 à 2001, il devient Directeur des ventes chez Euler SFAC puis intègre le groupe April en 2003 en qualité de Directeur du développement ; en 2005 il est nommé Directeur d’April Assistance puis Directeur de partenariats en 2006. Il rejoint Macifilia en décembre 2008.
Signature d’une Charte de coopération entre autorités de supervision pour les groupes financiers transsectoriels
Les autorités de supervision du secteur financier – l’Autorité de contrôle des assurances et des mutuelles (ACAM), la Commission bancaire, le Comité des entreprises d’assurance, le Comité des établissements de crédit et des entreprises d’investissement, et l’Autorité des marchés financiers – viennent de signer une charte commune destinée à renforcer leur coopération dans la supervision des groupes financiers transsectoriels (c’est-à-dire exerçant à la fois dans le secteur de l’assurance et dans le secteur bancaire et des services d’investissement).
Cette charte rédigée en liaison avec le Ministère de l’Economie, des Finances et de l’Industrie met en œuvre la directive dite “conglomérats financiers” (16 décembre 2002), qui a instauré des procédures de consultation entre autorités de supervision en cas d’agrément d’une entreprise appartenant à un groupe transsectoriel ou d’autorisation de prise de participation ou de prise de contrôle d’une telle entreprise. Elle a été transposée en France par une série de textes législatifs et réglementaires en 2004 et 2005, complétés par un accord spécifique de mise en œuvre de la surveillance complémentaire des conglomérats financiers dont la Commission bancaire ou l’ACAM est le coordonnateur, conclu entre ces deux autorités lors de leur séance conjointe du 7 décembre 2005.
Afin de faciliter la mise en application de cette directive, la charte de coopération organise les consultations entre autorités dans les cas suivants :
– En matière d’agrément ou de prise de participation concernant un groupe transsectoriel, il est prévu que l’autorité d’agrément compétente pour se prononcer sur l’opération consulte l’autorité de contrôle de l’autre secteur qui, compte tenu de sa mission de surveillance permanente des entreprises,dispose des informations pertinentes sur les entreprises du groupe relevant de sa compétence ; l’autorité de contrôle consultée transmet à l’autorité d’agrément de son secteur les informations échangées ;
– Lorsqu’elles sont amenées à se prononcer sur la compétence, l’honorabilité et l’expérience de dirigeants exerçant des fonctions dans des entreprises des deux secteurs, les autorités d’agrément se consultent entre elles, et transmettent aux autorités de contrôle les informations échangées dans ce cadre.
Dans les deux cas, les autres autorités concernées sont destinataires des informations échangées.
Ainsi, lorsque le Comité des établissements de crédit et des entreprises d’investissement sera amené à se prononcer sur la prise de participation d’une entreprise d’assurance de droit français dans un établissement de crédit, par exemple, il consultera l’Autorité de contrôle des assurances et des mutuelles avant d’autoriser cette opération. Le Comité des entreprises d’assurance et la Commission bancaire seront destinataires de cette consultation.
Cette charte a été approuvée par chacune des autorités concernées. Elle contribue à renforcer la coopération entre autorités de supervision du secteur financier, afin de traiter de manière efficace et cohérente les problématiques transsectorielles et s’inscrit ainsi dans la lignée de la loi de sécurité financière du 1er août 2003.
Cette charte est disponible sur les sites de ces autorités : www.cecei.org ; www.commissionbancaire.fr ; www.ccamip.fr ; www.amf-france.org ; www.minefi.gouv.fr ; et, prochainement, www.ceassur.fr
BNP Paribas Assurance entend développer son activité à Taïwan
BNP Paribas Assurance annonce la création d’une joint venture avec Taiwan Cooperative Bank (TCB) pour la commercialisation de produits d’épargne et de prévoyance dans le réseau des 300 agences TCB.
Cet accord se traduit par la constitution de BNP Paribas Assurance TCB Life Insurance Company, une compagnie d’assurance de droit taiwanais détenue à hauteur de 51% par TCB et 49% par BNP Paribas Assurance. Cette compagnie nouvellement créée sera dirigée conjointement par une équipe composée de représentants des deux partenaires. Le Chairman sera nommé par TCB, tandis que le CEO sera nommé par BNP Paribas Assurance.
Cette alliance s’inscrit dans la stratégie de partenariat de Cardif, filiale de BNP Paribas Assurance, qui a déjà créé des compagnies d’assurance en joint venture avec des banques ou des sociétés financières dans 6 des 41 pays où elle opère. En Asie elle a noué 3 joint ventures : en Inde (SBI Life) ; en Thaïlande (Cardif Thaï Life), en Corée du Sud (SH&C Life Insurance).
Cardif est implantée à Taiwan depuis 10 ans et est le 2ème bancassureur en unités de compte du pays. Conformément à son modèle multipartenarial, Cardif continuera d’accompagner ses partenaires bancaires taïwanais dans leur développement.
BNP Paribas Assurance TCB Life Insurance Company entend déposer une demande de licence en assurance vie autorisant la commercialisation de produits de prévoyance et d’épargne sur le marché taiwanais, auprès de l’Insurance Bureau, organisme taiwanais de tutelle.
Le Groupe Mutuel se dote d’un nouveau système d’information en Ressources Humaines
Créé en 1993, le 3ème assureur suisse a réussi le coup de force de mettre en place la solution 9.0 de l’éditeur en 18 mois à peine. Une performance rendue possible par la qualité et l’expertise des équipes de la filiale helvète de « Des Systèmes & Des Hommes »
Fort d’une trentaine d’agences réparties à travers le pays et plus de 1 500 collaborateurs, le Groupe Mutuel est un des leaders suisses dans le domaine des assurances maladie et accident, de l’assurance vie et des assurances entreprises. Cette association d’assureurs, qui vient de fêter ses 15 années d’existence, a réalisé en 2007, un chiffre d’affaires de 3,039 milliards de francs suisses (près de 2 milliards d’euros) et compte aujourd’hui 875 000 assurés.
Dès l’origine, la mise en place d’un nouveau SIRH s’est inscrite dans un projet plus ambitieux de refonte globale du système d’information du Groupe décidé début 2004. Dès lors, il importait pour la société de se doter d’un outil complet, facile à mettre en œuvre, et possédant une vraie « philosophie » RH. Une fois ces contraintes spécifiées, le choix de PeopleSoft Enterprise 9.0 et Oracle eBusiness Suite s’est rapidement imposé (avril 2007). A charge pour « Des Systèmes et des Hommes » (S&H) – retenue pour l’implémentation – de confirmer son rang et sa réputation en s’employant à déployer sept modules de la solution RH PeopleSoft 9.0… avant la fin de l’année 2008. La course contre la montre pouvait commencer.
Pour ce faire, une organisation et un planning des plus précis ont du être définis, passant principalement par la mise en place d’ateliers fonctionnels entre les différentes équipes « métiers » du Groupe et les consultants de S&H. L’objectif : préciser en amont toutes les spécifications souhaitées. Par ailleurs, une intégration et un recettage modulaire ont permis de valider, étape par étape, les grandes lignes du projet. Concrètement, celui-ci s’est déroulé comme suit :
– septembre 2007 : mise en place du socle RH et de la solution ePerformance (gestion des compétences)
– octobre 2007 : gestion de la formation
– janvier 2008 : Paie, gestion de la rémunération, gestion des carrières & des plans de successions
– mai 2008 : gestion du Recrutement
– juin 2008 : gestion des apprentis en contrats d’alternance
– novembre 2008 : gestion de la rémunération variable des agents (basée sur « Oracle Incentive Compensation »)
Ludovic Bruchez, Cadre supérieur RH en charge de ce projet au sein du Groupe Mutuel confie : « La collaboration avec S&H a été intensive. Si le projet a été mené à bien et dans les temps, c’est en grande partie grâce à la qualité des « workshops » animés par ses équipes. Il faut également louer la maîtrise des consultants de l’ensemble des problématiques de l’application ainsi que leur réactivité et leur disponibilité durant toute la période de mise en œuvre. Un travail remarquable de bout en bout. »
Premier bilan : La mise en place de ce nouvel outil a modifié sensiblement les habitudes de travail du pôle RH. Fluidification de l’information, homogénéisation des pratiques, validation des procédures, les gains sont évidents et concernent aussi bien les processus d’évaluation, de recrutement et de gestion des congés. Autre avantage non négligeable, la Direction des Ressources Humaines du Groupe Mutuel peut dorénavant concentrer ses activités sur des tâches à plus forte valeur ajoutée.
Et si l’on admet généralement que c’est à l’informatique de s’adapter aux processus métiers, on sera intéressé d’apprendre qu’en quelques cas, le Groupe Mutuel a su s’adapter aux règles prédéfinies du logiciel, tant certaines relevaient du bon sens et allaient rapidement contribuer à une meilleure marche du service.





