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Assurance vie : 20 contrats d’assurance vie fonds euros qui ont assuré en 2010
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Sources : boursorama, investir
Assurance-vie : AG2R La Mondiale sert 3,50% sur ses contrats d’épargne
Pour 2010, AG2R La Mondiale annonce un taux de rendement de 3,50% net pour ses contrats d’épargne. Les contrats retraite sont eux rémunérés à 3,20% ou 3,50% nets.
Les taux de rendement 2010 des contrats d’assurance-vie d’AG2R La Mondiale sont de 3,50% nets pour les contrats d’épargne, soit une baisse de 0,25 point par rapport à 2009 en raison du recul des rendements des obligations du marché.
En ce qui concerne les contrats retraites (Mondiale Retraite Professionnels, Mondiale Privilège Actions, Mondiale Retraite Active, Mondiale Retraite et Mondiale Perspectives Entreprise), ces derniers sont rémunérés à 3,20% nets, alors que le contrat Perp (Mondiale Solutions Retraite) est rémunéré à 3,50% net.
Assurance vie : Swiss Life vise un rendement de 7,40% par an avec son produit Objectif Avril 2011 Capitalisation
Swiss Life lance sa septième unité de compte structurée : Objectif Avril 2011 Capitalisation. Cette nouvelle offre se caractérise par un objectif de versement d’un coupon de 7,40% du nominal par année écoulée, en cas de remboursement anticipé ou à l’échéance.
Cet instrument financier, comme les placements directs en actions, est non garanti en capital. Durée d’investissement conseillée : 8 ans (sauf en cas de remboursement anticipé).
Face au succès confirmé de ses précédentes campagnes, qui lui ont permis de collecter près de 300 millions d’euros en 2010, Swiss Life propose, du 17 janvier au 29 avril 2011, sa nouvelle unité de compte structurée Objectif Avril 2011 Capitalisation.
Il s’agit d’un instrument financier de droit français, dont la durée d’investissement conseillée est de 8 ans et présentant un mécanisme de remboursement anticipé à partir de la troisième année. Il est non garanti en capital à l’échéance, émis par Crédit Agricole Corporate and Investment Bank Financial Solutions, garanti par Crédit Agricole Corporate and Investment Bank et conçu par le département Wealth Management de SwissLife Gestion Privée, la société de gestion de la banque privée du groupe.
Cette nouvelle offre se caractérise par un objectif de versement d’un coupon de 7,40% du nominal par année écoulée, en cas de remboursement anticipé ou à l’échéance. Il y a une perte en capital à l’échéance si l’indice EURO STOXX 50®0 a baissé de plus de 50% le 29 avril 2019 (alors remboursement d’au moins 200% de la valeur finale de l’indice), sinon l’intégralité de la valeur nominale (nette de frais) est remboursée, majorée d’un coupon de 7,40% du nominal par année écoulée.
Destinée à une clientèle avisée qui souhaite diversifier ses placements, cette nouvelle unité de compte structurée est éligible à la plupart des contrats d’assurance vie multisupport de SwissLife Assurance et Patrimoine1.
L’acquisition des coupons de 7,40% du nominal par année écoulée dépend de la performance de l’indice EURO STOXX 50® constatée chaque année à date anniversaire depuis le 29 avril 2011, avec pour particularité un mécanisme d’acquisition de coupons avec « effet mémoire ».
Objectif Avril 2011 Capitalisation expose l’investisseur, pour une durée de 3 à 8 ans, aux marchés actions de la zone Euro représentés par leur principal indice, l’EURO STOXX 50®.
Ce produit a pour objectif d’offrir un coupon de 7,40%2 de la valeur nominale par année écoulée et contient un mécanisme de remboursement anticipé à partir de la troisième année.
Néanmoins, en cas de marchés fortement baissiers (plus de 50% à la date de constatation finale), l’investisseur est soumis à un risque de perte en capital. Celui-ci est cependant atténué car le remboursement s’effectue à hauteur d’au moins deux fois la valeur finale 2 3 de l’indice.
L’indexation peut être totale à la baisse mais ne l’est jamais à la hausse puisque le gain est plafonné.
L’investisseur ne bénéficie pas des dividendes détachés par les actions composant l’indice.
Selon communiqué
Assurance habitation : Le top 5 des pannes fonctionnelles ou de mauvais usages de vos appareils du quotidien
Une utilisation inappropriée de vos appareils peut être souvent à l’origine de pannes. Avant de faire jouer vos garanties d’assurance habitation pour les dommages de vos appareils électroniques ou ménagers vous pouvez toujours jouer la carte de la prévention. Christophe Biancini, spécialiste du service après vente de garantie-privee.com, fait un point sur la nature des pannes les plus couramment observées par son SAV ces derniers mois, et d’y apporter quelques explications. Pannes fonctionnelles ou de mauvais usages…
Le four micro-ondes ne chauffe plus
« Très fréquemment, on voit des micro-ondes arriver en SAV parce qu’ils ne chauffent plus. Cette panne peut avoir plusieurs explications : une utilisation inappropriée de l’appareil, les utilisateurs ont, par exemple, mis des objets métalliques dans le four, ou une utilisation intensive de l’appareil qui s’use donc plus vite, ce n’est donc pas lié à la qualité du produit. On voit aussi beaucoup de cas dans lesquels, le fusible est grillé, ce qui est tout à fait normal au bout de quelques années d’utilisation.
Le GPS en panne, la carte SD en cause
Généralement, on reçoit des GPS dont l’écran tactile ne fonctionne plus, qui ont des problèmes de cartographie ou encore des soucis de soft (logiciel) de navigation. Plusieurs explications à cela ! La panne de l’écran est liée à la fragilité du système « tactile ». En ce qui concerne la carte SD, qui contient la map (carte), les gens l’utilisent, à d’autres fins que celle dédiée. Ils stockent des photos dessus et du coup, cela « déformate » la carte. Il peut aussi s’agir, d’un mauvais « flashage de Firmware », c’est-à-dire, d’un bug au moment de la mise à jour du logiciel interne. La mise à jour des Points d’intérêts (POI) du GPS est aussi souvent, l’occasion d’entraîner des pannes.
Un disque dur externe doit être débranché correctement
Encore une fois, les pannes sont souvent extérieures au produit lui-même, c’est-à-dire que les utilisateurs par manque d’infos pensent que leur appareil est en panne alors qu’il s’agit d’une mauvaise manipulation. Pour le boitier externe, par exemple, on constate des problèmes de compatibilité de fichiers entre ceux enregistrés par l’utilisateur et ceux que peuvent lire l’appareil. C’est un problème de Codec. Le formatage du hdd (disque dur externe) est aussi une source régulière d’incidents. Et enfin faire un « deplug à chaud du disque externe », c’est-à-dire le débrancher sous tension, sans l’avoir éjecté avant de l’ordinateur, endommage fortement l’appareil.
Le lecteur DVD portable, victime de sa mobilité
Problème d’affichage, de lecture des disques… Parce qu’ils sont transportés, les lecteurs sont donc soumis à une plus grande usure. De plus, la fragilité des composants des produits bas de gamme occasionne de nombreuses pannes, les fiches DC et les charnières sont fragiles et les enfants les manipulent, parfois sans précaution.
La panne de la PS3, une histoire de lumière rouge !
Première panne, elle ne lit plus les disques, le lecteur optique est HS. Souvent, les enfants, glissent les CD de leurs jeux plein de poussière avec des traces de doigts, cela fragilise le lecteur. C’est une panne d’usure assez habituelle. En revanche, s’il y a bien une panne pour laquelle l’utilisateur n’est pour rien, c’est bien la panne YLOD, la terrible Yellow Led Of Death. Comme pour la XBOX 360, la PS3 effectue à chaque mise en route, un contrôle de son système avant de démarrer. Si quelque chose bloque, alors, une petite led rouge clignote, la console est bloquée. C’est un bug reconnu par Playstation qui peut dans la grande majorité des cas, être réparé en SAV.
Selon communiqué de presse
Assurance maladie : Recherche de moyens pour savoir ce que coûtent vraiment les soins aux malades et à la collectivité
Le Haut Conseil pour l’avenir de l’Assurance maladie (HCAAM) propose d’élaborer de nouveaux indicateurs pour mieux éclairer le débat sur l’évolution de la prise en charge des soins par l’assurance maladie.
Cet organisme – composé d’experts, d’élus, de partenaires sociaux et d’associations d’usagers – souhaite disposer de données plus complètes sur ce que les assurés déboursent directement de leur poche pour leur santé et sur ce que cela représente par rapport à leurs revenus.
Il s’agit également d’avoir des indicateurs “sur ce que coûtent vraiment aux malades et à la collectivité les soins qui répondent à un cheminement optimal dans le système”, précise le HCAAM, dont le rôle est notamment d’évaluer les évolutions de l’assurance maladie.
La proposition de ce nouveau “tableau de bord” répond au débat récurrent sur le niveau de la prise en charge par l’assurance maladie.
Certains, dont le gouvernement, mettent en avant le fort taux de prise en charge des dépenses de soins des Français par l’assurance maladie (75,5% en 2009). Si l’on y ajoute les assurances complémentaires, le taux de couverture se situe autour de 90%.
D’autres estiment cependant que ces chiffres sont trompeurs. Ils soulignent qu’en excluant les personnes en affections de longue durée (ALD, intégralement prises en charge), la part de l’assurance maladie pour les soins les plus courants de la majorité des Français est plutôt situé autour de 55%.
Pour le HCAAM, ces chiffres ne permettent pas de trancher ce débat sur l’assurance maladie et ses évolutions souhaitables, alors que “la contrainte financière met aujourd’hui sous tension la pérennité de notre système de solidarité”.
Les indicateurs qu’il compte construire à partir de cette année devront aussi permettre de mieux comparer la France avec les systèmes étrangers.
AFP, PARIS, 28 janvier 2011
Assurance vie : Les taux de rendement 2010 des contrats d’assurance-vie et retraite d’AG2R LA MONDIALE
TAUX DE RENDEMENT 2010 DES CONTRATS D’ASSURANCE-VIE EN EUROS D’AG2R LA MONDIALE
Les taux de rendement 2010 des contrats d’assurance-vie d’AG2R LA MONDIALE sont de 3,50% pour les contrats d’épargne et de 3,20% ou 3,50%pour les contrats retraite.
Les taux de rendement des contrats d’assurance-vie épargne d’AG2R LA MONDIALE connaissent une légère baisse de 0,25 point par rapport à 2009. Cette baisse demeure inférieure à la moyenne du marché. Philippe Dabat, Directeur général délégué AG2R LA MONDIALE en charge du développement commercial, commente : « La qualité de la gestion financière d’AG2R LA MONDIALE a permis de limiter l’impact de la baisse des rendements des obligations sur le marché. Nous allons ainsi pouvoir servir des taux attractifs à nos assurés. »
Assurance maladie : Hausse modérée en 2010 pour les dépenses de remboursements de soins de ville de l’assurance maladie
Les dépenses de remboursements de soins de ville de l’assurance maladie, qui incluent notamment les honoraires des médecins libéraux, ont respecté en 2010 les limites fixées par la loi, selon des données publiées jeudi par la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam).
Elles ont progressé de 2,8% au cours de l’année au sein du régime général (salariés du privé), leur taux d’évolution par rapport à 2009 étant même ramené à +2,6% en tenant compte de certains retards de facturation.
Ces dépenses qui ont souvent dérapé ces dernières années, englobent les soins (honoraires médicaux et dentaires, auxiliaires médicaux, indemnités journalières) et les produits de santé délivrés en ville, comme les médicaments.
Dans le budget de la Sécurité sociale pour 2010, l’objectif d’évolution des dépenses d’assurance maladie avait été fixé à +3,0%. Des sous-objectifs avaient été fixés à +2,8% pour les soins de ville et à +2,8% également pour le secteur hospitalier.
Les dépenses de soins de ville en 2010 “sont marquées par une stabilité des remboursements d’honoraires médicaux et dentaires, une croissance modérée des dépenses de médicaments et des dépenses de laboratoires”, a souligné la Cnam.
Pour les généralistes, les dépenses ont même diminué de 2,3% en 2010 par rapport à 2009. Les épisodes épidémiques de grippe de 2009 avaient en effet gonflé le nombre de consultations cette année-là.
En revanche, certaines dépenses ont connu une évolution soutenue, comme celles du transport sanitaire (+5,1%, contre +7,6% en 2009), les indemnités journalières (+4,5%), ou les dépenses d’auxiliaires médicaux (+5,7%), comme les infirmières ou les kinésithérapeutes.
Dans le secteur hospitalier, les versements aux établissements ont progressé de 1% (+1,7% pour les cliniques, +0,8% pour les hôpitaux publics).
Mais ces chiffres n’incluent pas certaines dotations importantes aux hôpitaux.
Dans le médico-social (établissements pour personnes âgées et handicapées), où la loi avait fixé le taux d’évolution des dépenses à +5,8%, l’assurance maladie a constaté une hausse de +6,5% des versements.
En 2010, le déficit de la branche maladie est évalué à 11,4 milliards d’euros.
AFP , PARIS, 27 janvier 2011
Prévention santé : Le premier centre intégré de prévention du suicide en France ouvre avec le soutien de la MACIF
A l’occasion de la 15ème journée nationale de prévention du suicide du 5 février 2011, la Macif annonce l’inauguration de la première Maison de la prévention du suicide au Havre par l’Association du Réseau de Prévention du Suicide du Havre (ARPS), association soutenue par la Macif depuis 2005 dans le cadre de sa politique de prévention du suicide. Baptisée « Havre de vie », cette maison est un espace d’accueil, d’écoute et de conseils pour la population de la région du Havre afin de parler du suicide malgré les tabous, d’être écouté et orienté pour désamorcer la crise suicidaire et enfin d’être accompagné pour éviter les récidives.
Prévenir le suicide suppose la détection le plus tôt possible d’une souffrance suicidaire dont la gravité doit être correctement évaluée. Pour y parvenir, il est indispensable de faciliter le dialogue avec les personnes dont la souffrance est trop souvent ignorée ou sous estimée par leur entourage qui hésite à aborder directement la question de l’existence d’idées suicidaires. Il faut aussi mettre en place un dispositif complet d’écoute et d’accompagnement vers des soins adaptés, ainsi qu’un suivi d’une durée suffisante.
Le premier centre intégré de prévention du suicide en France
Pour remplir cette vaste mission, l’Association du Réseau de Prévention du Suicide (ARPS) a conçu le premier centre intégré de prévention du suicide en France en regroupant les principaux éléments essentiels et reconnus pour une prévention efficace. Cet espace d’accueil implanté dans la ville du Havre a trois objectifs majeurs :
-parler du suicide pour évacuer les tabous,
-écouter et orienter pour désamorcer la crise suicidaire,
-accompagner pour éviter les récidives.
La maison Havre de vie propose un accueil de jour des personnes suicidaires et de leurs proches tous les après midi de 16h00 à 19h30 (sauf le dimanche), permettant la prise d’un rendez-vous dans les 24 heures avec un psychologue ou un psychiatre, pour dénouer la crise suicidaire ainsi qu’un numéro d’appel SOS Suicide 02 35 22 00 00 (coût d’un appel local). L’association propose aux personnes en souffrance un accompagnement pendant une année par les psychologues de l’ARPS et par un bénévole formé par l’association qui peut être joint facilement, afin d’éviter toute nouvelle crise suicidaire.
Macif-Mutualité et Macif Val de Seine Picardie, partenaires depuis 2005 de l’association ARPS, ont contribué à l’équipement mobilier (bureau, armoire, bibliothèque, meuble de rangement…) de la Maison Havre de vie afin d’en faire un lieu accueillant et convivial.
Présidée par le Docteur Jean-Marc Limare, l’association ARPS forme des centaines de « sentinelles » dans la région havraise afin de détecter, écouter et orienter les personnes suicidaires vers une prise en charge adaptée. L’association va travailler en coordination avec les structures d’urgences du Groupe Hospitalier du Havre et l’Unité de Suicidologie de la Clinique psychatrique Océane du Havre qui ouvrira fin 2011.
Le dispositif « Familles Endeuillées » de la Macif
Entreprise solidaire et citoyenne, la Macif s’est depuis longtemps engagée dans la prévention du suicide. En 1974, elle devient la première mutuelle d’assurances à reconnaître le suicide comme un accident de la vie. Depuis, elle indemnise en moyenne chaque année plus de 700 familles de sociétaires.
Depuis 2005, la Macif met à la disposition de ses sociétaires le dispositif « Familles Endeuillées », qui apporte un soutien psychologique aux sociétaires Macif, traumatisés par le suicide d’un proche. Après réception d’une déclaration de suicide, la Macif informe par courrier les membres de la famille du soutien psychologique dont ils peuvent bénéficier et leur communique un numéro vert dédié, réservé aux sociétaires ou ayants droits Macif afin d’échanger avec des psychologues sur leur souffrance.
Le soutien aux familles endeuillées peut se poursuivre par des consultations chez un psychologue clinicien.
Assurance-vie : La création d’un contrat avec une part minimale d’actions à l’étude
Bercy travaille avec les assureurs à l’élaboration d’un nouveau contrat d’assurance vie qui comporterait une part minimum de 12% en actions, a indiqué jeudi le président de la Fédération française des sociétés d’assurance (FFSA) Bernard Spitz.
Ce nouveau contrat, en unités de compte (dont le capital n’est pas garanti) s’inscrirait dans la volonté du gouvernement de favoriser l’investissement dans les entreprises françaises. Lors d’un discours mardi à Saint-Nazaire, Nicolas Sarkozy a souhaité que les fonds de l’assurance vie, dont l’encours atteint plus de 1.300 milliards d’euros, “s’investissent dans un actionnariat stable et de long terme pour nos entreprises”.
“Il y a eu des discussions l’an dernier avec le ministère des Finances qui ont permis de définir à peu près le contour d’un produit en UC (unités de compte) qui garantisse un minimum de 12% d’actions”, a expliqué M. Spitz en marge de la conférence de présentation des résultats annuels de la FFSA.
Interrogé par l’AFP, l’entourage de la ministre de l’Economie Christine Lagarde a fait état de “travaux” et de “réflexions” sur le lien entre l’assurance vie et le financement de l’économie, sans confirmer la possibilité de créer un nouveau contrat.
Affirmant que les assureurs “sont prêts” à mettre en place ce nouveau produit, M. Spitz a rappelé que les fonds de l’assurance vie n’étaient pas propriété des assureurs mais des épargnants et qu’il “faut d’abord qu’ils le veuillent”. Pour cela, il faut que ce produit soit simple, que cela ne vienne pas perturber le marché actuel et que le contrat dispose d'”un atout supplémentaire et particulièrement sur le plan fiscal”, selon le président de la FFSA. Cet avantage fiscal permettrait de compenser le caractère plus risqué des actions, selon la perception qu’en ont les épargnants, a-t-il ajouté.
M. Spitz a rappelé que les actifs d’entreprise (actions, obligations et immobilier d’entreprise) représentaient actuellement 56% des placements des assureurs, soit 940 milliards d’euros, un chiffre en hausse par rapport à 2009.
Paris, 27 janvier 2011 (AFP)
Santé : Le médicament contre l’acné, Roacctuane sous haute surveillance
Un nouveau médicament (Roaccutane) pourrait concentrer toutes les attentions, scandale soulevé par le Médiator. C’est un médicament qui aide à lutter contre les problèmes d’acné particulièrement prononcés. Commercialisé par le laboratoire Roche jusqu’en 2008, il existe depuis sous sous forme de génériques.
Le principal bénéfice apporté par le Roaccutane réside dans l’isotrétinoïne. Cette puissante est particulièrement efficace contre les formes graves d’acné mais contient également une liste de pas mois de 152 effets indésirables. Les risques de dépression et de suicide figurent ainsi sur la notice du médicament.
Daniel Voidey, le papa d’un jeune niçois de 17 ans qui s’est pendu et un Vauclusien qui ont tout deux pris du Roaccutane ont décidé de saisir la justice.
La père d’Alelaxandre raconte : « Il s’est pendu à un arbre à 800 mètres de la maison, raconte son père. Au début du traitement, tout s’est bien passé. Mais le dernier mois, je l’ai senti abattu. Trois jours avant de mettre fin à ses jours, il avait passé son bac. Il paraissait mieux. La veille de son suicide, il s’est isolé puis il s’est donné la mort. Alexandre était un garçon ouvert, sportif, bon élève, qui n’avait jamais donné de signe de dépression”.
Daniel Voidey va alors de mener son enquête et découvre qu’une association existe en Suisse. Il décide de créer l’Association des Victimes du Roaccutane et Génériques (AVRG) qui recueille le témoignage de parents dont les enfants, sous traitement, ont connu des problèmes psychiques, voire se sont suicidés.
En réalité, l’isotrétinoïne, commercialisée sous le nom de Roaccutane depuis 1984, est surveillée depuis 1995 par l’Afssaps. Depuis le mois de novembre 2010, une enquête est menée auprès d’une centaine de dermatologues. “Nous connaîtrons les résultats d’ici la fin de l’année”, estime le Dr Castot.
Santé / Grippe : Le virus a fait 57 victimes, les cas graves sont en baisse
L’épidémie de grippe saisonnière a fait au total 57 morts en France métropolitaine depuis le début de la surveillance de cette maladie, selon le dernier bilan de l’Institut de veille sanitaire (InVS).
En plus des 43 décès identifiés par la surveillance des cas graves, 6 décès de grippe à domicile ont été signalés spontanément à l’InVS, ainsi que 8 décès hospitaliers déclarés par certification électronique, selon ce point. L’information sur la confirmation virologique de ces décès est le plus souvent indisponible, ajoute l’institut, qui rappelle que “cette surveillance des décès n’est pas exhaustive”.
Le nombre de passages aux urgences et d’hospitalisations pour grippe, tous âges confondus, poursuit sa diminution depuis la première de janvier. Cette baisse reste plus marquée en Ile-de-France. Cependant, le nombre de passages aux urgences et d’hospitalisations parmi les 5-14 ans continue à augmenter.
Le nombre de cas graves admis en réanimation et d’épisodes d’infections respiratoires aiguës en collectivités de personnes âgées a également diminué la semaine dernière en métropole. La majorité des cas graves ont été infectés par un virus A(H1N1)2009 et sont âgés de 15 à 64 ans. Dans 38% de ces cas graves aucun facteur de risque n’a été identifié (asthme, insuffisance cardiaque ou respiratoire…).
L’InVS relève, en outre que “quatre mutations D222G” du virus H1N1 ont été identifiées chez des cas graves admis en réanimation, a priori sans lien entre eux. “Cet événement rare a déjà été signalé pendant la pandémie 2009-2010”, ajoute-t-il. “Cette mutation pourrait augmenter la capacité du virus à atteindre les voies respiratoires basses”, mais “l’efficacité des vaccins actuellement disponibles n’est pas remise en cause”, assure l’InVS.
Par ailleurs, des épidémies de grippe sont en cours aux Antilles et en Guyane où de premiers cas graves dus au virus H1N1 ont été signalés et confirmés, selon l’institut.
Paris, 19 janvier 2011 (AFP)
Assurance chômage : Année noire pour le marché de l’emploi en 2010, l’Unedic parie sur la baisse du nombre de chômeurs
Il fallait s’y attendre les chiffres du chômage pour l’année 2010 ne sont pas bons. La crise financière a évidemment contribué à l’augmentation du nombre de demandeurs d’emploi, la barre des quatre millions de chômeurs ayant été franchie. Le mois de décembre ne fait pas exception à la tendance observée.
Le nombre de personnes inscrites sur les listes de Pôle emploi, incluant celles ayant exercé une activité réduite en France métropolitaine, a augmenté de 32.600 en décembre, à 4,051 millions, soit une hausse de 5,3% sur l’ensemble de l’année 2010, a annoncé mercredi le ministère du Travail.
Les demandeurs d’emploi n’ayant exercé aucun emploi ont été également plus nombreux : +27.100, à 2,725 millions, soit une hausse de 1% sur le mois et de 3% en 2010. Avec les DOM, le total des demandeurs d’emploi en France se monte à 4,309 millions.
Après les deux années de crise 2008-2009- la plus grave depuis la seconde guerre mondiale qui s’était soldée par 500.000 destructions d’emplois- l’amélioration du marché de l’emploi se fait attendre.
En janvier 2010, le président Nicolas Sarkozy avait promis un recul du chômage dans les “semaines et les mois qui viennent” à l’appui d’une “stratégie économique” qui devait “porter ses fruits”. L’été dernier, le gouvernement a revu à la baisse ses ambitions tablant sur un arrêt de la hausse du chômage durant la seconde partie de 2010 et une embellie en 2011.
Finalement, le ministre du Travail Xavier Bertrand a admis mardi que 2010 n’aura pas été “la bonne année” en matière d’emploi. Le ministre, qui dit avoir une “obligation de résultat”, a promis mercredi de “mobiliser tous les acteurs de la politique de l’emploi” pour faire de 2011 “une année de baisse sensible du chômage”. Il entend cibler les publics fragilisés, notamment “les chômeurs de longue durée ou les jeunes”.
La situation de ces catégories s’est en effet dégradée: le nombre de chômeurs de longue durée inscrits à Pôle emploi depuis plus d’un an (intégrant ceux avec activité réduite) a progressé de 252.000 durant l’année 2010 à 1,523 million. Les seniors de plus de 50 ans en quête d’emploi sont aussi plus nombreux : 757.000 (+16,3% sur un an) et le nombre de jeunes de moins de 25 ans reste élevé à 630.000, malgré un repli de 2,8% sur un an.
Selon Yannick L’Horty, professeur à Paris-Est, il y a eu “trois âges successifs: une crise financière, suivie d’une crise économique puis d’une crise de l’emploi”. Aujourd’hui, “on est en train d’apercevoir le fond du tunnel, l’orage est derrière nous et on constate le dégâts des eaux”.
D’après l’Insee, le taux de chômage – qui avait atteint un pic à 9,6% de la population active au plus fort de la crise- s’est stabilisé à 9,3% au troisième trimestre 2010 et devrait décroître légèrement d’ici mi-2011 à 9,1% en métropole. L’Unedic, qui gère l’assurance chômage table sur un repli des demandeurs d’emploi de l’ordre de 130.000 personnes en 2011. Mais, relève Jacques Freyssinet, professeur à Paris I, “il suffit de quelques dixièmes de croissance de plus ou de moins pour faire basculer du positif au négatif” l’évolution du chômage. Il prévoit au mieux le retour à l’emploi de “quelques dizaines de milliers” de chômeurs ce qui reste “extrêmement faible par rapport au stock” des sans emploi.
L’Allemagne mise à part, les autres pays de la zone euros sont logés à la même enseigne: “les politiques de restriction budgétaire freinent la croissance économique” en Europe”, souligne M. Freyssinet.
Avec AFP
Dépendance : Nicolas Sarkozy pourrait créer un ministère de la Dépendance
Selon Europe 1, Nicolas Sarkozy envisagerait d’effectuer quelques changements ministériels dans les mois prochains. Un ministère de la Dépendance pourrait même voir le jour.
Nicolas Sarkozy pourrait effectuer prochainement quelques changements au sein du gouvernement, en créant notamment de nouveaux secrétariats d’État (Défense ou Immigration). Selon Europe 1, l’Élysée envisagerait même de créer un ministère de la Dépendance, dédié à la recherche de solutions pour financer la perte d’autonomie des personnes âgées. Les noms de Valérie Rosso-Debord ou encore du député-maire d’Antibes Jean Léonetti circulent pour la charge de ce poste.
Sources : Europe 1
Assurance-vie : Près d’un français sur deux dit croire de moins en moins à ce placement
Les français sont de moins en moins attirés par l’assurance-vie, selon les premiers résultats d’un sondage réalisé par Les Echos. Le placement préféré des français pâtit notamment des performances moyennes des contrats pour l’année 2010. Globalement orientés à la baisse, les taux servis avoisinent péniblement les 3,5%.
A la réponse « Croyez-vous encore en l’assurance-vie », les résultats du sondage font apparaître les tendances suivantes :
– 31% des français ont répondu « Oui bien sûr »
– 45% « de moins en moins »
– 24% « plus du tout »
Les contrats ont moins rapporté à leurs souscripteurs en 2010, victime d’un contexte de marché défavorable et durable et l’année 2011 ne s’annonce pas sous de bons auspices. La réforme de la fiscalité du patrimoine fait craindre à nouveau un problème d’attractivité pour les épargnants. Côté assureurs, les normes Solvabilité II vont « obliger les compagnies d’assurance à acheter plus d’obligations et moins d’actions », une tendance qui renforce la pression à la baisse des rendements.
Assurance-vie : Generali annonce le rendement du contrat mes-placementsVie géré par E Cie vie
La performance 2010 du fonds en euro du contrat mes-placementsVie géré par E Cie vie a été de 4.10% nets de frais de gestion mais hors prélèvements sociaux. Il est en très légère progression par rapport aux 4.05% distribués en 2009, malgré une baisse significative des rendements obligataires en 2010 et un marché actions globalement orienté à la baisse.
Ce taux résulte d’une politique financière qui, comme les années précédentes, a mis l’accent sur une sélection stricte des actifs. Cette politique active a permis de préserver le rendement courant de l’actif et de faire progresser la revalorisation du fonds.
” Dans un marché où les taux de participation aux bénéfices sont globalement orientés à la baisse, Generali tire les fruits en 2010 de ses anticipations de 2009 ” déclare Stéphane Dedeyan, Membre du Comité de Direction Générale.
Santé / Médicaments : Le réflexe de la prescription d’antibiotiques pour angine
Enquête conduite chez 50 généralistes par une personne se plaignant d’un mal de gorge fictif, et à qui 52% des médecins ont prescrit des antibiotiques. Les antibiotiques “c’est toujours trop automatique”, relève l’UFC-Que Choisir.
L’enquête a été réalisée de la mi-octobre à la mi-novembre dans toute la France, “suivant le même scénario : prétendre un mal de gorge et dire craindre une angine”, selon l’organisation de défense des consommateurs. Elle précise n’avoir demandé aucun remboursement de ces rendez-vous à l’Assurance maladie.
La grande majorité des angines sont virales (ce que peut déceler un test de diagnostic rapide et mis gratuitement à disposition des médecins), et dans ce cas le recours aux antibiotiques est sans intérêt. Pour cette malade en bonne santé, 52% des visites ont conduit cependant à la prescription d’antibiotiques et seulement un médecin est revenu sur sa prescription après que la “malade” eut émis des doutes sur sa nécessité, indique l’UFC-Que Choisir. En moyenne, les médecins prescrivaient 2,4 médicaments en plus des antibiotiques, voire parfois des corticoïdes, non recommandés pour un mal de gorge.
En France, rappelle l’UFC-Que choisir, 9 consultations sur 10 se terminent par une prescription de médicaments, dont la consommation par habitant est “supérieure de 40% à celle de nos voisins européens”. La consommation d’antibiotiques, après avoir baissé de 15% en France depuis 2002, est repartie à la hausse en 2007, avec une augmentation annuelle de 4%. Le niveau de consommation de la France reste l’un des plus élevés d’Europe, derrière la Grèce. Une surconsommation entraîne l’apparition de germes résistants, un phénomène qui se développe à grande vitesse dans le monde.
L’association insiste une nouvelle fois sur une “information objective” des praticiens, qui doit “contrebalancer la pression exercée (sur eux) par l’industrie pharmaceutique”. Elle rappelle sa proposition de création d’un corps de visiteurs médicaux publics et indépendants, placés sous l’égide de la Haute autorité de santé.
Après la campagne “les antibiotiques c’est pas automatique”, l’Assurance maladie a lancé l’an dernier une nouvelle campagne, centrée notamment sur l’angine: “si on les utilise à tort, ils deviendront moins forts”.
Paris, 24 janvier 2011 (AFP)
Assurance habitation : Pour contenir la hausse des prix en 2011, il faut mettre en concurrence les assureurs
Christine Lagarde, la ministre de l’Economie a appelé les assurés “à faire pleinement jouer la concurrence” après la hausse des tarifs annoncées de l’assurance habitation.
“La perspective d’une hausse tarifaire est le moment pour le consommateur de remettre en concurrence son assureur avec d’autres entreprises”, a déclaré Mme Lagarde, citée samedi par un communiqué du ministère. Bercy rappelle que depuis la loi Chatel de 2005, l’assureur a l’obligation légale de rappeler à l’assuré, avec chaque avis d’échéance, la date jusqu’à laquelle il est libre de résilier son contrat.
Les tarifs 2011 des principaux assureurs accusent une hausse moyenne de 3,5% pour l’habitation. A l’annonce de ces hausses, la ministre avait demandé à la mi-décembre un rapport à la Direction générale du Trésor et à la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF). Selon les auteurs du rapport, les tarifs de l’assurance habitation, ils ont suivi de 200 à 2010 une progression deux fois plus rapide que l’indice global des prix, avec un net rebond au 1er semestre 2010.
La ministre, précise-t-on au ministère de l’Economie, a demandé au Comité consultatif du secteur financier de lui proposer d’ici à la fin février de nouvelles mesures visant à favoriser la mobilité des assurés. “Christine Lagarde a dès à présent demandé à la DGCCRF de renforcer ses contrôles à domicile pour détecter les pratiques abusives qui induisent une dérive des coûts”, ajoute-t-on de même source.
La principale explication de cette augmentation est liée à la multiplication des événements climatiques (tempêtes Klaus et Xynthia, inondations dans le Var…) qui a conduit à une explosion des charges afférentes (+ 225% entre 2008 et 2010).
Toujours selon ce rapport, les taux de résiliation de contrats atteignent “des niveaux significatifs révélant déjà une réelle fluidité du marché”, variables selon les compagnies, de 3,5% à 17% pour l’assurance habitation.
Avec AFP
Assurance auto : Les clients doivent “faire jouer la concurrence” face aux hausses de tarifs
La ministre de l’Economie Christine Lagarde a appelé les assurés “à faire pleinement jouer la concurrence”, face aux hausses annoncées des tarifs de l’assurance automobile et habitation, confirmées par un rapport des services de Bercy.
“La perspective d’une hausse tarifaire est le moment pour le consommateur de remettre en concurrence son assureur avec d’autres entreprises”, a déclaré Mme Lagarde, citée samedi par un communiqué du ministère.
Bercy rappelle que depuis la loi Chatel de 2005, l’assureur a l’obligation légale de rappeler à l’assuré, avec chaque avis d’échéance, la date jusqu’à laquelle il est libre de résilier son contrat.
Les tarifs 2011 des principaux assureurs accusent une hausse de 2,5% au moins pour l’automobile. A l’annonce de ces hausses, la ministre avait demandé à la mi-décembre un rapport à la Direction générale du Trésor et à la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF). Celles-ci concluent, pour l’automobile, à une progression de l’indice de 10% de 2000 à 2010, soit environ deux fois moins que l’indice global des prix à la consommation. Depuis 2007, les sinistres liés à la responsabilité civile ou au vol sont en recul, notent les auteurs du rapport qui pointent en revanche la “forte hausse” des bris de glace.
La ministre, précise-t-on au ministère de l’Economie, a demandé au Comité consultatif du secteur financier de lui proposer d’ici à la fin février de nouvelles mesures visant à favoriser la mobilité des assurés. “Christine Lagarde a dès à présent demandé à la DGCCRF de renforcer ses contrôles sur les réparations automobiles.
Le rapport note par ailleurs que les produits financiers qui permettaient à l’assurance automobile d’équilibrer ses charges ont été fortement affectés par la crise en 2009, tandis que le coût des réparations progressait fortement la même année (+3 à 5%).
Toujours selon ce rapport, les taux de résiliation de contrats atteignent “des niveaux significatifs révélant déjà une réelle fluidité du marché”, variables selon les compagnies, de 2% à 17% pour l’assurance automobile.
Avec AFP
Santé / Grippe : Le virus a déjà fait 41 victimes en France, appel à la vaccination pour les populations fragiles
L’épidémie de grippe saisonnière a fait au total 41 morts en France métropolitaine depuis le début de la surveillance de cette maladie, selon le dernier bilan de l’Institut de veille sanitaire (InVS).
L’InVS relève une “augmentation du nombre de cas graves admis en réanimation essentiellement dus au virus A(H1N1)2009”, tout en évoquant “une stabilisation de l’épidémie de grippe” en métropole.
Parmi les cas graves hospitalisés en réanimation, la majorité appartient à la classe d’âge des 15-64 ans. “La majorité des cas (59%) a un facteur de risque, rappelant l’importance de la vaccination dans ces populations fragiles”, souligne l’institut. Le remboursement du vaccin par l’Assurance maladie pour ces populations est de de 100%.
Depuis le début de la surveillance, l’InVS a reçu 290 signalements de cas graves. “En plus des 29 décès identifiés par la surveillance des cas graves, 4 décès de grippe à domicile ont été signalés spontanément à l’InVS, ainsi que 8 décès hospitaliers déclarés par certification électronique”, écrit l’institut mercredi dans son point sur la grippe. Il précise toutefois que “cette surveillance des décès n’est pas exhaustive”. “La létalité parmi les cas graves est de 10%”, pointe-t-il.
Sur les 290 cas graves recensés et analysés par l’InVS, 22 (8%) sont dus à la grippe B, 167 (58%) au A/H1N1A et 3 (1%) au A/H3N2.
L’institut fait par ailleurs état d’épisodes d’infections collectives dans des établissements de personnes âgées. Il souligne l’utilité de recourir aux tests rapide de détection de la grippe dans ce cadre et rappelle que “la vaccination est toujours possible et d’intérêt actuellement”.
Avec AFP
Assurance retraite : Les pensions devraient augmenter de 1,8 % en avril 2011
Le montant de la retraite de base devraient connaître une hausse de 1,8 % le 1 er avril prochain compte tenu de la hausse des prix. C’est ce que l’on déduit du chiffre d’inflation de 1,5 % constaté pour 2010 selon Les Echos.
La revalorisation comprend 1,5 % au titre de l’inflation prévisionnelle pour 2011 auquel il faut ajouter 0,3 point de correction pour l’inflation de l’an dernier (qui s’est révélée être de 1,5 % au lieu des 1,2 % anticipés).
Quasi certaine, cette revalorisation devra être confirmée en mars par la Commission économique de la nation. Elle concerne la plupart des régimes retraites de base, du secteur privé comme de la fonction publique. Pour les retraites complémentaires Agirc-Arrco, également revalorisées le 1 er avril, la revalorisation sera du même ordre, mais le chiffre exact n’est pas encore connu.
Assurance-vie : Pro BTP sert 4,15% sur son contrat Épargne Confiance
Pour 2010, Pro BTP annonce un rendement de 4,15 % net de frais de gestion et brut de prélèvements sociaux pour son contrat Épargne Confiance.
Ce taux est proche de celui qui avait été attribué en 2009 (4,30 %). Le taux moyen annuel distribué sur les huit dernières années se monte à 4,43 %, pour une inflation moyenne de 1,59 % sur la période.
Pro BTP applique ce rendement sans distinction à l’ensemble de ses supports en euros, qui représentent un encours de 2,3 milliards d’euros au 31 décembre 2010.
L’assureur souligne que l’entreprise a continué à doter ses réserves de rendement (provision pour participation aux excédents), afin d’assurer l’attractivité de l’Épargne Confiance à l’avenir.
Assurance chômage : Âpres discussions en vue mais pas de changements radicaux
Syndicats et patronat se retrouvent lundi pour commencer à négocier de nouvelles règles d’indemnisation des chômeurs, qui ne devraient pas être bouleversées, malgré d’âpres discussions en vue sur le sort des oubliés de l’assurance chômage.
Alors que les organisations patronales (Medef, CGPME, UPA) veulent essentiellement reconduire la convention d’assurance chômage datant de 2009 et expirant fin mars, leurs interlocuteurs (CGT, CFDT, FO, CFTC, CFE-CGC) réclament des avancées.
La marge de manoeuvre financière des gestionnaires de l’assurance chômage est limitée: « la situation de l’Unedic, avec un déficit cumulé de 11Mds d’euros, réduit le champ des possibles », selon Stéphane Lardy (FO).
L’Unedic, qui a vu les rentrées de cotisations diminuer et les dépenses d’indemnisation augmenter avec la crise, table cependant dans ses dernières prévisions sur une baisse du nombre des demandeurs d’emploi pour réduire son déficit cumulé à 6,7Mds d’euros fin 2014. Pour le patronat, « il n’est pas question d’innovations radicales » : « nous souhaitons principalement reconduire le cadre actuel », affirme Laurence Parisot, présidente du Medef.
La CFDT, seul syndicat signataire en 2009, est également « pour le maintien » des acquis d’alors, avec des « améliorations », souligne Laurent Berger. Au nombre des acquis, figure pour elle « l’indemnisation des 312.000 personnes », jeunes notamment, qui n’auraient rien touché avec les règles précédentes.
La dernière convention a notamment réduit de six à quatre mois la durée de travail minimale pour bénéficier d’allocations. En outre, un jour cotisé donne droit à un jour indemnisé jusqu’à un plafond de deux ans (trois pour les seniors). Mais, considère la CGT, ce système ne protège pas assez les précaires, alors que seule la moitié environ des demandeurs d’emploi sont actuellement indemnisés par l’Unedic. La centrale réclame l’ouverture de droits au chômage dès deux mois travaillés, « pour le noyau dur des précaires », explique Maurad Rabhi.
Pour lui, les règles instaurées en 2009 ont privé plus rapidement de droits de nombreux chômeurs, comme ceux qui, avec 16 mois de travail, avaient autrefois droit à 23 mois d’indemnisation. « On pousse les plus pauvres vers les minima sociaux », selon lui. CGT, CFDT, CFTC ou FO veulent aussi créer un système permettant de garder des indemnités non utilisées pour une période de chômage ultérieure. Une façon d’encourager à accepter un emploi, même risqué.
Les organisations se rejoignent aussi sur l’idée de cotisations patronales variant selon la durée des contrats, afin de « pénaliser les entreprises qui utilisent systématiquement des contrats courts », explique M. Lardy (FO). « Il y a de plus en plus de contrats courts. Demain on aura de petits boulots d’une heure! », s’insurge Gabrielle Simon (CFTC). La CFDT propose un système dégressif dans le temps, la CGT prône des parts patronales différentes pour CDI, CDD ou contrats d’intérim, mais l’idée est la même: que la flexibilité ait un coût.
Autre pomme de discorde avec le patronat pour certains: la baisse programmée des cotisations le jour où les comptes de l’assurance chômage renoueront avec un excédent, d’au moins 500 millions d’euros semestriel. Ce qui surviendrait dès 2013, selon l’Unedic. Le Medef tient à ce « principe » déjà inscrit dans la convention actuelle: « il n’y a aucune raison de retirer ce point de la négociation », a prévenu Mme Parisot.
FO, pas opposé au principe d’une baisse des cotisations, parle néanmoins d’« aberration » tant que perdure le déficit cumulé. « Ce serait incohérent tant que la totalité du déficit n’est pas apuré », renchérit la CFTC, pour laquelle la priorité « est de répondre aux besoins des demandeurs d’emploi ». La CGT, elle, « préfère indemniser tout le monde et mieux » plutôt que baisser les cotisations.
Paris, 21 janvier 2011 (AFP)
Assurance maladie : La chambre individuelle devient payante dans certains hôpitaux de Paris
L’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), qui ne facturait pas encore aux patients les chambres individuelles, contrairement à la plupart des autres CHU français, va rendre ce confort payant, en limitant dans un premier temps cette mesure expérimentale à cinq établissements.
A partir du 1er février, les patients hospitalisés à Bichat, Beaujon et Bretonneau, au nord de Paris, à Pitié-Salpêtrière au sud et à Avicenne, à Bobigny (Seine-Saint-Denis), devront acquitter 45 euros par jour s’ils désirent une chambre individuelle, a précisé la direction générale de l’AP-HP dans un communiqué. “Ces dispositions ne s’appliquent évidemment pas aux patients nécessitant une hospitalisation en chambre individuelle pour raisons médicales”, précise la direction. “L’expérimentation que l’AP-HP va engager (…) doit lui permettre d’évaluer concrètement l’impact de ce dispositif pour ses patients avant d’envisager sa généralisation”, poursuit le communiqué.
Le tarif de 45 euros “se situe dans la fourchette inférieure des prix pratiqués par les autres établissements et compatible avec le niveau de remboursement de la très grande majorité des mutuelles”, précise l’AP-HP. “Les recettes de la facturation de la chambre individuelle permettront notamment une amélioration du confort hôtelier des patients et du cadre d’exercice professionnel de ceux qui les soignent”, conclut le communiqué.
La mise en place de l’expérimentation a été décidée après consultation des usagers.
Dans Webzine, le magazine de l’AP-HP sur internet, Patrick de Courcel, représentant des usagers de l’hôpital Bichat (AP-HP), indique que “compte tenu des garanties apportées”, il a “considéré pouvoir soutenir cette expérimentation” et qu’il la suivra “avec beaucoup de vigilance”.
L’AP-HP compte 37 hôpitaux récemment regroupés en 12 groupes. Son déficit prévisionnel pour 2011 est de 114 millions d’euros, pour un budget de 6,5 milliards et un retour à l’équilibre est prévu pour 2012.
Paris, 19 janvier 2011 (AFP)
Assurance retraite / Réforme : Les conditions pour bénéficier du départ à 60 ans
Conditions à réunir pour bénéficier d’un départ à la retraite anticipé à 60 ans au titre de la pénibilité e gouvernement a finalisé les projets de décret qui éclairent les dernières zones d’ombres de sa réforme des retraites.
Ces textes, que l’AFP a pu consulter jeudi, ont été transmis aux partenaires sociaux avant leur publication prévue dans les prochaines semaines. Leur contenu peut encore évoluer, mais le gouvernement n’est pas tenu de prendre en compte les critiques qui ne vont pas manquer de la part des syndicats.
Les projets de décret confirment sans surprise ce qui apparaissait déjà clairement dans la loi: malgré le recul de l’âge légal de 60 à 62 ans (qui sera progressif à partir de juillet), certains salariés ayant eu une carrière pénible pourront continuer de partir à la retraite à 60 ans à taux plein.
Ce droit sera attribué automatiquement, comme prévu dans la loi, pour ceux qui justifient d’un taux d’incapacité permanente d’au moins 20% reconnu au titre d’une maladie professionnelle (ou d’un accident du travail ayant entraîné des lésions identiques à celles indemnisées au titre d’une telle maladie).
Face aux critiques des syndicats, trouvant ce dispositif trop restrictif, le gouvernement avait ajouté dans la loi une possibilité de départ anticipé quand ce taux est compris entre 10% et 20%, mais assortie dans ce cas de conditions, que la loi n’avait toutefois pas détaillées. Les projets de décret fixent notamment à 17 ans la durée d’exposition à un facteur de risque dont devra justifier un assuré ayant un taux d’incapacité compris dans cette fourchette.
Cette condition de durée d’exposition, précisée pour la première fois, se rapporte selon les textes à trois types de facteurs: les contraintes physiques marquées (port de charges lourdes, postures pénibles), l’environnement agressif (bruit, température,…) ou encore les rythmes de travail (travail de nuit notamment).
Les textes ne prévoient pas de seuil pour ces facteurs (pas de nombre de décibels prévus par exemple pour le bruit), laissant une marge d’appréciation aux commissions pluridisciplinaires qui examineront les dossiers des candidats à un départ anticipé dont le taux d’incapacité est inférieur à 20%.
Ces commissions régionales seront composées de cinq membres, dont le directeur de la caisse de retraite chargée de la liquidation de la pension, le médecin-conseil régional de l’assurance maladie, et le directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi. “On est étonné qu’il n’y ait pas de partenaires sociaux dans cette commission”, a dit à l’AFP Patrick Pierron, secrétaire national CFDT en charge de la vie au travail, alors que les syndicats avaient exprimé le souhait de cette présence lors de l’examen de la loi.
C’est à cette commission que l’assuré devra transmettre les pièces pouvant justifier de son exposition à un facteur de risque. Il devra formuler sa demande de départ anticipé au moment de déposer sa demande de liquidation de ses droits. L’un des projets de décret fixe une liste non exhaustive des documents qui pourront être pris en compte: il cite les bulletins de paie, les contrats de travail, ou encore la fiche d’exposition dont disposent certains salariés.
Selon les estimations du gouvernement, quelque 30.000 personnes par an –il y environ 700.000 départ à la retraite chaque année– pourraient bénéficier au total d’un départ anticipé pour pénibilité.
Paris, 20 janvier 2011 (AFP)
Assurance-vie : Capma & Capmi annonce 3,75% de rendement
Capma & Capmi, mutuelle adhérente de Monceau Assurances affichent un taux de 3,75% nets pour 2010.
Le contrat multisupport Dynavie proposé par Capma & Capmi servira un taux net de 3,75% en 2010. Un rendement dans la moyenne du marché et en baisse par rapport à 2009, comme pour la majorité des contrats d’assurance-vie.
En 2009, Dynavie affichait en effet un niveau de rémunération de 4,37%.
Assurance-vie : Generali annonce des taux en hausse pour 2010
Generali servira entre 4,20 et 3,60% au titre de l’année 2010 pour ses contrats d’assurance-vie.
En fonction du contrat, les assurés de Generali vont pouvoir bénéficier de taux relativement élevés pour les rendements de leurs contrats d’assurance-vie. En 2010, l’assureur au Lion de Venise était resté un peu en deça des taux servis en moyenne par les concurrents. Cette année, il a fait le choix de servir à ses clients des rendements singificatifs.
Avec quatre contrats rémunérés à plus de 4% pour les contrats E-novline et Gener@li Epargne (Fonds Eurossima) – 4,10% ; Xaélidia et Himalia ( Fonds Euro Innovalia) – 4,20% et un taux au plus bas de 3,60%, l’assureur tire profit d’une bonne « sélection des actifs » anticipée en 2009 et de « plus-values actions et immobilières » selon un communiqué.
Entreprises : Les Urssaf ont commencé à recouvrer les cotisations d’assurance-chômage
Selon des Echos, depuis le 15 janvier les Urssaf assurent le recouvrement des cotisations d’assurance-chômage pour le compte de l’Unedic, auprès de 1,6 million d’employeurs.
Ces cotisations étaient auparavant réglées au Pôle emploi. « L’objectif de cette réforme est de simplifier les formalités déclaratives des employeurs », ont rappelé les deux organismes dans un communiqué. La CFTC annoncé qu’elle « a fait preuve d’une grande vigilance pour que ce recouvrement puisse se réaliser dans les conditions antérieures et que ce transfert d’activité n’ait pas de conséquences négatives sur les ressources de l’Unedic. »